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srio

Member Since 25 Jan 2006
Offline Last Active Jan 27 2006 09:29 AM
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Posts I've Made

In Topic: Je parle à ce que tu dis non à toi

27 January 2006 - 09:29 AM

Si Tim ne me supprime pas le compte, je resterai sur srio que j'aime bien. Alors, peut-être reviendront à grandes ailées les canards vivipares ou mortifères :

In Topic: L'ivresse de nos moulures

27 January 2006 - 08:18 AM

Oui, par exemple.
Surtout chez les poètes.

In Topic: Adieu

27 January 2006 - 07:14 AM

Un tronçon de trois siècles n'est pas plus long qu'une piste skniable. on n'est pas encore dans les "siècles des siècles". Mais la série fanfaronne : l'industrie, le progrès, oui ! C'est elle. La civilisation, c'est vrai, c'est peut-être exagéré. Que ferai-on sans enthousiasme ?

In Topic: Adieu

27 January 2006 - 02:57 AM

Je crie : tu n’es pas là ! Ce que je demande : tu n’es pas là ou es-tu là et où ? Où es-tu ? Des coupures de presse me parviennent : « série… série… série… » Tu n’es pas là, tu es partout où tu n’es pas. Comment te nommer ? Tu vois où j’en suis arrivé, avec ça. Rien ne change si je crie et pourtant… j’imagine que tu sois dans le cri : ainsi tu progresseras ; le cri s’élève dans la stratosphère --- il englobe l’espace,  le cri série, enrôle tour à tour les éléments de la réalité. Je me sentirai puissant, d’une puissance incontrôlable, pas « le cri de la série » mais le cri série, de « crissez rails et roues » (Le Train, épisode Mehart, 1991).
Tu vois où mènent tes absences. Mais je t’ai rencontrée, partout et ce n’était pas toi, ce n’est plus toi : que vas-tu devenir sans moi en effet ? Moi, je vais bien : je joue au golf, je déclenche des guerres dans le Golfe persique. Mes contemporains ont mal à l’âme. Et moi je dis : tant mieux, foin de série pas d’âme. Donc j’en étais à mes amusements : sports nobles, conflits qu’on n’a même pas à imaginer (pour concurrencer le monde, un jour, j’inventais un conflit par jour), cinéma, où je prêtais une attention de forcené à toutes les séquelles des grands succès du cinéma. Attention car je suis dans ce temps. Dans le temps des séquelles, toujours un œil sur l’épisode précédent. « Le nouveau James Bond, ce n’est pas une séquelle. C’est une franche série ». Or tu n’y étais pas. Or tu cessais. Or je ne t’ai pas reconnue, et je déteste le cinéma.

Adieu. Il fallait que je prenne les bouts, que j’aille confectionner des images pour le GRAND FILM que tu m’as conseillé d’aller voir. Un couteau à série dans la poche. Où tu es, où tu n’es pas, je le sors. Je découpe des tranches de réalité, où je te redécoupe ensuite. Comme un « serial killer » mais j’ai remarqué que la plaisanterie avait des limites là-dessus, à cause d’une marque de tabac qui a ouvert une campagne sur le thème: « Etes-vous un serial rouleur ? » Pour une raison ou pour une autre, la campagne s’est vite arrêtée. Tu ne fais que cela n’est-ce pas, arrêter et disparaître ? Ton parcours est un amas de broderies. Il y a eu une publicité à ta gloire à la télévision, elle se sériait bien sûr ; j’étais ému : tu règnes sur le secteur automobile comme dans l’univers des médias, dans l’industrie, tu es l’industrie même, la civilisation et le progrès.

In Topic: titre cherche poème

27 January 2006 - 02:31 AM

Citation (heloise @ Jan 26 2006, 12:33 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je te donne un mot
Que je voudrais ne jamais retrouver
"Désespoir"


L'anespoir est bien pire !