Quand bien même les ombres s’effacent,
Ces fidèles compagnes qui nous pourchassent
Elles reviennent là, de temps en temps
Nous rappelant à nos sombres oublis
Ou nos éclatantes envies
Confusion, ruptures ou alliances
Les ombres sont là
Gardiennes
De nos vies.
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Sortilèges Ambigus
18 December 2006 - 11:33 PM
??
21 November 2006 - 11:57 PM
Ceci est mon secret
et vous y laisserez
de vos rêves épuisés
en vos regards aiguisés
un élan, une flamme dorée
ou le soupir fatigué
d'une vie d'amours délaissées
Ambréance
et vous y laisserez
de vos rêves épuisés
en vos regards aiguisés
un élan, une flamme dorée
ou le soupir fatigué
d'une vie d'amours délaissées
Ambréance
C'est Un Tango
09 October 2006 - 10:38 PM
Un pas de côté
Deux de l’autre
En jardins secrets
Les miens, les vôtres
Vous accompagnez la courbure
Je volte-face
En belle allure
Les corps s’enlacent
Deux pas de côté
Un pas de l’autre
Un renversé
Le nôtre
Jeux de hanches
Regards croisés
Je me penche
Vous me retenez
Un pas de côté
Deux de l’autre
De peaux frôlées
En muscles bandés
En rythme
Enfiévrés.
Deux de l’autre
En jardins secrets
Les miens, les vôtres
Vous accompagnez la courbure
Je volte-face
En belle allure
Les corps s’enlacent
Deux pas de côté
Un pas de l’autre
Un renversé
Le nôtre
Jeux de hanches
Regards croisés
Je me penche
Vous me retenez
Un pas de côté
Deux de l’autre
De peaux frôlées
En muscles bandés
En rythme
Enfiévrés.
Mes Dernières Volontés
10 September 2006 - 08:41 AM
Deviendrais-je amnésique, que je me souviendrais encore.
Si ma mémoire venait à défaillir et que mon cœur s’éparpille, mon corps lui, sera l’empreinte.
Deviendrais-je sage, que je livrerais combat contre ma lucidité ennemie et ma raison hostile pour que mes songes les plus fous se souviennent.
Qu’ils se souviennent de vous, de vos mains vagabondes, de vos regards en partage et vos silences bavards.
Qu’ils se rappellent vos croyances enfantines, vos mèches rebelles et cicatrices invisibles.
Qu’ils gardent en écho le son de vos pas et vos absences cruelles.
Qu’ils reconnaissent les parfums de vos libertés et vos goûts à aimer.
Je me souviendrai de tout, et quand au creux d’une nuit, en vielle dame, en agonie, mes pensées s’échapperont, mon dernier souffle sera alors,
pour vous.
Si ma mémoire venait à défaillir et que mon cœur s’éparpille, mon corps lui, sera l’empreinte.
Deviendrais-je sage, que je livrerais combat contre ma lucidité ennemie et ma raison hostile pour que mes songes les plus fous se souviennent.
Qu’ils se souviennent de vous, de vos mains vagabondes, de vos regards en partage et vos silences bavards.
Qu’ils se rappellent vos croyances enfantines, vos mèches rebelles et cicatrices invisibles.
Qu’ils gardent en écho le son de vos pas et vos absences cruelles.
Qu’ils reconnaissent les parfums de vos libertés et vos goûts à aimer.
Je me souviendrai de tout, et quand au creux d’une nuit, en vielle dame, en agonie, mes pensées s’échapperont, mon dernier souffle sera alors,
pour vous.
Ouragan
15 August 2006 - 11:39 PM
Ton front se ride, tes yeux se glacent, ta bouche devient blême, la colère est là.
Comme l’orage qui monte, obscurcit le ciel et tonne en éclats.
Le vent se lève, tout comme toi. Arrogant, véhément en force décuplée.
Un trouble qui vient de toutes parts, de nulle part, grandissant.
Le danger est là.
Tapis dans l’ombre d’une violence naissante, démesurément possible dans une seconde.
C’est beau, inquiétant aussi.
Le déploiement de telles énergies renferme des secrets incommensurables.
Impossibles à maîtriser.
Il faut qu’ils claquent, explosent.
Qu’ils éclosent enfin.
La fureur s’impose en sa majestueuse déraison, en impossible déclinaison.
Et de cette incandescente force vive,
Que restera-t-il des brûlots et de leurs traces,
Si ce n’est des cendres encore chaudes menées aux combats ?
Comme l’orage qui monte, obscurcit le ciel et tonne en éclats.
Le vent se lève, tout comme toi. Arrogant, véhément en force décuplée.
Un trouble qui vient de toutes parts, de nulle part, grandissant.
Le danger est là.
Tapis dans l’ombre d’une violence naissante, démesurément possible dans une seconde.
C’est beau, inquiétant aussi.
Le déploiement de telles énergies renferme des secrets incommensurables.
Impossibles à maîtriser.
Il faut qu’ils claquent, explosent.
Qu’ils éclosent enfin.
La fureur s’impose en sa majestueuse déraison, en impossible déclinaison.
Et de cette incandescente force vive,
Que restera-t-il des brûlots et de leurs traces,
Si ce n’est des cendres encore chaudes menées aux combats ?
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