En respirant parfois des vapeurs délicieuses.
Je n’aime pas la route.
J’essaie de tournoyer tous les parfums amers
Des friches habitées d’identités fameuses,
Je n’aime pas la route.
Tout rosit au matin dans les harmonies fades,
Le pavé disgracieux meurt dans trop d’excellence.
J’entends dans quelque souffle quelconque cadence :
L’espoir s’en disparaît dans vos tristes balades.
Tout s’étale et tout tombe.
Semelle gravier ; semelle gravier.
Le parfait se suffit. Il va sans s’arrêter.
Il salue bêtement sur les chemins vernis
La tête vide
Le cœur heureux…
Je n’aime pas la route.
Bon ça m'embête un peu parce que je ne participe pas au forum en dehors de mes posts de texte, mais je mets celui-ci quand même
