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De la poêsie,je pensais,enfin avoir trouvé le site,
Des poêtes aux sentiments différents qui y habitent,
Et de leurs écrits pouvoir m'instruire,
Qu'afin,une famille nous puissions bâtir,
Mais tel le jeune homme devant pilate,
Je n'ai récolté que mépris et mots disparates.
Crucifié sur l'autel de l'idiotie et de la bêtise,
Avec la complicité de gens aimant la traîtrise.
En ce jour prévu et écrit, je vous dis adieu,
Les autres je les verrai au tribunal de dieu.
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d (a vous de deviner ) ic xc

Je me vois déjà vieux en pensant ce que tu fus autrefois,
Une beauté qui t'a rendue à jamais sans loi ni foi,
Et ta pauvre âme déchirée entre plusieurs sentiments,
N'aura rien gravé de beau,dans le temps,puisque tu te ments.
Viendra le jour où ta beauté fânée deviendra laide,
Et,seule,tu ne pourras espérer aucune aide,
Tu repenseras que ta vie gâchée ne fût qu'un rêve,
Et,qu'éloignée de l'Amour tu n'auras trace de sève,
Tu verras sur ce qui fût ton corps apparaître au grand jour,
Les malheurs que ta beauté a fait subir jour aprés jour,
Puis la vérité éclater par la façon de regarder,
Les hommes,que peut être,tu ne peux t'empêcher d'aider,
Tu n'as,vraiment,plus rien de commun avec les poêtes,
Car le monde t'a transmutée dans celui des coquettes,
Mais,avoir donné tout mon être à celle que j'aimais,
Ne me fera,dans mon âme,oublier qu'elle est l'Amour à jamais.
La vieillesse prendra sa revanche sur les coquettes,
Elles se regarderont mais jamais ne verront leur tête,
Car,cherchant leur beauté,elles n'auront qu'une triste laideur,
Et leur corps privé de jeunesse n'aura plus d'ardeur.

Mais pourquoi moi et pas un autre?
Suis-je,de l'Alpha,cet esprit unique?
Pour me choisir parmi tant d'autres,
Je suis son contraire:Sans espoir et cynique,
J'apporte le malheur et la destruction,
Le vain espoir et le terrible sentiment,
Je détruis,soudoie et torture les nations,
La calamité m'aime et je suis son piment.
Qu'adviendra t'il dans dans les temps si proches,
Où privés de lumiére vous ne serez plus,
Que des ombres se cachant sous les porches,
Cherchant désespérément,de Dieu,un surplus,
Une loi supplémentaire pour votre salut.
Dieu n'existe que par son contraire:Belzébuth.

Que vat-il advenir de nos existences?
Si ce n'est qu'attendre l'heure des sentences,
Quand tu entendra le son de la trompette,
La mort nous plongera au fond d'oubliétte.
Nul ne se souviendra de ce que nous fûmes,
Chacun vivra sa vie comme de coutume,
Attendant que pour eux aussi sonne le glas,
Des héros qui se couchent à force d'être las.
Tout être doit tourner sa dernière page,
Et,il ne faut pas être avancé en âge,
Pour se rendre compte qu'aprés la lecture,
Vient le temps,horrible, de la pourriture.
Unissez-vous,vite,trés belle jeunesse,
Pour que vous connaissiez le temps des faiblesses,
La vraie souffrance forge le caractère,
Des hommes qui en deviendront des"Austères"

Mes larmes ont si souvent lavé mon âme,
Qu'il ne reste aucune trace de flamme,
Et si,un jour,elle a contenu l'Amour,
Je l'ai certainement perdu au fond d'une cour,
Il ne reste à ce jour que des sentiments,
Qui ne font,bien malgré eux,que défier le temps.
Plus je regarde la beauté de la rose,
Plus je vois que j'ai oublié tant de chose,
Et si,torturé je ne peux pas en finir,
C'est que du passé resurgit le souvenir,
Celui que mon Amour m'aimait tendrement,
Mais que vat-il donc rester de nos beaux serments?
Je ne peux que prier pour voir enfin s'accomplir,
Ce que rien au monde ne pourrait affaiblir:
Mon Amour,il est le vrai sang de mes pensées,
Et,de toi,elles ne seront point refusées,
Car l'aboutissement de nos deux destinées,
Ne ce fera que dans un bon nombre d'années,
Et enfin,peut-être,contre toute attente,
J'aurai la joie de te sentir enfin présente.
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Ecrit en écoutant Eagles (préférence hotel california)