Doux, parfumés, réconfortants.
Incertains, faibles et enivrants.
Mais qu’est ce que je ressens ?
La nuit, le jour elle est là.
Dans ma tête dans mon cœur elle est là.
Spontané, victimes d’un instant ?
Pourtant si vrais et si troublants…
Je la vois, à la portée d’un regard.
Elle s’en va. Inscrite dans ma mémoire,
Je retrouve son parfum entêtant.
Mais ils ne sont pas acceptés,
Refoulés par des mots des pensées,
Enrôlés par nos rêves.
Amenés à une trêve.
Je l’adore, je l’aime, je l’ignore,
J’en souffre, j’en pleure, je l'implore.
Imperturbables, ils vont, viennent.
Insoupçonnable marée de mon cœur,
Qui s’échoue dans la peine,
Se perd dans l’abyme des mes rancoeurs.
Il suffira d’une larme...
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Il Suffira D'une Larme
29 November 2006 - 10:50 PM
Fa, Sol, La, Et Si...?
28 November 2006 - 07:16 PM
Mon monde est gris,
Son sol ne soutient pas.
Mon monde est si petit,
Son sol suscite mon trépas.
Dehors le ciel est bleu,
Les murs sont tombés.
Des musiciens cadencés
Donnent le La. Si peu…
Une fille sourit là-bas,
Félicité transcendante de la Vie.
Un souffle, un mouvement, elle m’accorde le Fa.
Envolée lyrique. Un fil d’or à la main. Et si… ?
Le monde est gris, rouge.
Le liquide de vie coule,
Bat dans ses veines, il en est saoul.
Une mélodie, un sursaut. Il bouge.
Fa, Sol, La. Et si … ?
Son sol ne soutient pas.
Mon monde est si petit,
Son sol suscite mon trépas.
Dehors le ciel est bleu,
Les murs sont tombés.
Des musiciens cadencés
Donnent le La. Si peu…
Une fille sourit là-bas,
Félicité transcendante de la Vie.
Un souffle, un mouvement, elle m’accorde le Fa.
Envolée lyrique. Un fil d’or à la main. Et si… ?
Le monde est gris, rouge.
Le liquide de vie coule,
Bat dans ses veines, il en est saoul.
Une mélodie, un sursaut. Il bouge.
Fa, Sol, La. Et si … ?
Art ô Art
26 November 2006 - 10:24 PM
Art, ô Art.
Je te donne mon âme
Je me délaisse à ton pouvoir,
Tu es ma trame.
Le sang ne coule plus dans mes veines
L’encre a pris les rênes.
Je coule sur le papier,
Déverse le flot de mes pensées.
Hémorragie littéraire.
J’ai perdu le pair, l’impair ;
Je me répands sur ces carreaux
Je meurs chaque jour passé,
A chaque page tournée.
Je perds ma vie sur le recto, le verso.
Je laisse sécher mes pensées
Que je faisais taire.
Avec des mots je dessine des chimères,
Je mène une vie insensée,
Je conçois les maux les plus forts,
Les bonheurs les plus doux.
Je te donne mon âme
Je me délaisse à ton pouvoir,
Tu es ma trame.
Le sang ne coule plus dans mes veines
L’encre a pris les rênes.
Je coule sur le papier,
Déverse le flot de mes pensées.
Hémorragie littéraire.
J’ai perdu le pair, l’impair ;
Je me répands sur ces carreaux
Je meurs chaque jour passé,
A chaque page tournée.
Je perds ma vie sur le recto, le verso.
Je laisse sécher mes pensées
Que je faisais taire.
Avec des mots je dessine des chimères,
Je mène une vie insensée,
Je conçois les maux les plus forts,
Les bonheurs les plus doux.
Echappatoire (avec Un Grand A)
26 November 2006 - 06:40 PM
Tu la sens ?
La blessure du temps ?
Chaque minute écoulée
Elargit la blessure du passé.
Ne te retournes pas,
Regarde droit devant toi.
Tu es vulnérable
Ton passé t’accables,
S’abat sur toi.
Chaque jour il accroît.
C’est un combat contre soi
Une chance d’en sortir,
De s’extraire du pire.
Sauves ton cas :
Aimes la.
Chéris la.
Adores la.
La blessure du temps ?
Chaque minute écoulée
Elargit la blessure du passé.
Ne te retournes pas,
Regarde droit devant toi.
Tu es vulnérable
Ton passé t’accables,
S’abat sur toi.
Chaque jour il accroît.
C’est un combat contre soi
Une chance d’en sortir,
De s’extraire du pire.
Sauves ton cas :
Aimes la.
Chéris la.
Adores la.
Le Temps D'un Soupir
26 November 2006 - 12:06 AM
Fleur d’été,
Rêves d’ombres
Songes de liberté
Regards sur les décombres
D’un Passé qui reste.
Dépassé par le temps.
Qui en nous proteste,
Se débattant, s’agitant
Regards sur un Avenir.
Qui reste à écrire
Plein d’espoir, de désarroi.
Qui nous laisse devant des larmes.
Tous ces choix
Qui nous désarment.
Larmes de joie, de dépit :
Des larmes de Vie.
Regards sur le Présent :
Bourdonnant, papillonnant.
Aux senteurs de sable,
De soleil de rires.
La Vie est un soupir :
Plein d’émotion, jamais innocent
Si court, si intense…
Rêves d’ombres
Songes de liberté
Regards sur les décombres
D’un Passé qui reste.
Dépassé par le temps.
Qui en nous proteste,
Se débattant, s’agitant
Regards sur un Avenir.
Qui reste à écrire
Plein d’espoir, de désarroi.
Qui nous laisse devant des larmes.
Tous ces choix
Qui nous désarment.
Larmes de joie, de dépit :
Des larmes de Vie.
Regards sur le Présent :
Bourdonnant, papillonnant.
Aux senteurs de sable,
De soleil de rires.
La Vie est un soupir :
Plein d’émotion, jamais innocent
Si court, si intense…
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