- Poésie - Archives de Toute La Poésie - 2005 - 2006
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Les Quatres éléments
28 November 2006 - 04:42 PM
Mon cœur navigue sur cet Océan de pensées
Que la mer soit calme ou bien qu'elle soit agitée
Doux voilier se laissant porter par les courants
L'âme fixant l'horizon, imperturbablement
Mon cœur s'envole vers le ciel, ce doux paradis
Se pose sur un nuage, libéré de l'interdit
Bel oiseau filant vers le soleil de ses pensées
Se nourrissant de tous ses rêves inavoués
Mon cœur, fine brindille peu à peu s'enflammant
Cédant au feu de la passion tout doucement
Si fragile, léger qu'il ne peut y résister
Mon cœur, grand arbre enraciné par la raison
Souvenirs de coups de hache portés trop profonds
A peine cicatrisés, encore fragilisé
Eau, air, feu ou terre; attente, rêve, passion ou bien raison?
Petite Fille..
24 November 2006 - 11:42 AM
Petite fille, je sais que tu as beaucoup souffert,
Qu'en un seul jour tes rêves sont partis en poussière,
Que jamais plus rien ne pourra être comme avant,
Que tu ne peux pas non plus remonter le temps
Petite fille, tu cherchais l'issue de ta souffrance,
En voyant au travers des autres une délivrance
Tu te complaisais finalement dans ton malheur
Tes amis étouffant tes cris et tes pleurs
Petite fille, t'avais besoin d'être rassurée,
Par la pitié des autres tu te sentais aimée
Mais ça ne pouvait pas t'enlever cette douleur
Qui empoisonnait chaque jour un peu plus ton coeur.
Petite fille, tu te voyais peu à peu sombrer
Sans jamais trouver la force de te relever
Mais n'oublie jamais que le bonheur est un choix
Il ne s'attend pas et peut venir que de toi
Petite fille, aujourd'hui tu as ouvert les yeux
Sur ce que tu es et sur ce que tu veux
Deux ans à ce jour que ton cousin est parti
Maintenant tu repars pour une nouvelle vie
Petite fille, tu peux être fière de toi à présent
D'avoir trouvé cet équilibre tant important
D'avoir vaincu la mort par ta grande volonté
En ayant tiré une grande force de ton passé.
Qu'en un seul jour tes rêves sont partis en poussière,
Que jamais plus rien ne pourra être comme avant,
Que tu ne peux pas non plus remonter le temps
Petite fille, tu cherchais l'issue de ta souffrance,
En voyant au travers des autres une délivrance
Tu te complaisais finalement dans ton malheur
Tes amis étouffant tes cris et tes pleurs
Petite fille, t'avais besoin d'être rassurée,
Par la pitié des autres tu te sentais aimée
Mais ça ne pouvait pas t'enlever cette douleur
Qui empoisonnait chaque jour un peu plus ton coeur.
Petite fille, tu te voyais peu à peu sombrer
Sans jamais trouver la force de te relever
Mais n'oublie jamais que le bonheur est un choix
Il ne s'attend pas et peut venir que de toi
Petite fille, aujourd'hui tu as ouvert les yeux
Sur ce que tu es et sur ce que tu veux
Deux ans à ce jour que ton cousin est parti
Maintenant tu repars pour une nouvelle vie
Petite fille, tu peux être fière de toi à présent
D'avoir trouvé cet équilibre tant important
D'avoir vaincu la mort par ta grande volonté
En ayant tiré une grande force de ton passé.
Le Cri Du Silence
24 November 2006 - 11:40 AM
Fraîche soirée de printemps où tout semblait paisible
Alors qu'elle hurlait silencieusement sa douleur
La mort cette nuit là l'avait prise pour cible
Le noir absorbait en elle toutes les couleurs
Cette fois ci le désespoir l'avait emporté
Elle voulait oublier, a gobé ces cachets
Envahie par la haine qui coulait dans ses veines
Elle a brisé ses chaînes en provocant la peine
Froide nuit de printemps où le monde s'endormait
Alors qu'elle titubait sur cette route obscure
Aveuglée par ses larmes, perdue dans ces pensées
Va pour le retrouver, escalade le mur
Sans jamais y être allée elle l'a reconnu
La tombe de son ange qu'on a retrouvé pendu
Rongée par la douleur de ce mal destructeur
Elle a fermé son cœur sur le monde extérieur
Glaciale nuit de printemps où tous étaient au chaud
Alors qu'elle s'effondrait sur sa tombe fleurie
Mêlant ses cris de rage à ceux des corbeaux
Maculant sa tombe de larmes, silences incompris
Allongée prés de lui entre ses sanglots lui parlait
En attendant que la mort vienne la délivrer
Etouffée par le poids que causait ses "pourquoi"
Devant son désarroi elle a prit un lourd choix
Doux matin de printemps où la ville s'éveille
Elle ouvre enfin les yeux sur son lit d'hôpital
Ses pensées sont brouillées après ce long sommeil
Juste de vagues souvenirs de sa sortie nuitale
Peu à peu cependant elle retrouve ses esprits
En camouflant ses pleurs soigneusement sans bruit
Silence impardonnable d'une âme si instable
Se sentant si coupable de cette faute évitable
Belle journée de printemps où le calme régnait
Elle, seule responsable de sa propre faiblesse
Face à ce silence oppressant qui la tuait
A son geste ayant provoqué tant de tristesse
Sa souffrance à présent dévoilée au grand jour
Elle a pu la nourrir chaque jour d'un peu d'amour
Elle a brisé le silence, fruit de ses souffrances
A trouvé l'espérance d'une prochaine délivrance
Alors qu'elle hurlait silencieusement sa douleur
La mort cette nuit là l'avait prise pour cible
Le noir absorbait en elle toutes les couleurs
Cette fois ci le désespoir l'avait emporté
Elle voulait oublier, a gobé ces cachets
Envahie par la haine qui coulait dans ses veines
Elle a brisé ses chaînes en provocant la peine
Froide nuit de printemps où le monde s'endormait
Alors qu'elle titubait sur cette route obscure
Aveuglée par ses larmes, perdue dans ces pensées
Va pour le retrouver, escalade le mur
Sans jamais y être allée elle l'a reconnu
La tombe de son ange qu'on a retrouvé pendu
Rongée par la douleur de ce mal destructeur
Elle a fermé son cœur sur le monde extérieur
Glaciale nuit de printemps où tous étaient au chaud
Alors qu'elle s'effondrait sur sa tombe fleurie
Mêlant ses cris de rage à ceux des corbeaux
Maculant sa tombe de larmes, silences incompris
Allongée prés de lui entre ses sanglots lui parlait
En attendant que la mort vienne la délivrer
Etouffée par le poids que causait ses "pourquoi"
Devant son désarroi elle a prit un lourd choix
Doux matin de printemps où la ville s'éveille
Elle ouvre enfin les yeux sur son lit d'hôpital
Ses pensées sont brouillées après ce long sommeil
Juste de vagues souvenirs de sa sortie nuitale
Peu à peu cependant elle retrouve ses esprits
En camouflant ses pleurs soigneusement sans bruit
Silence impardonnable d'une âme si instable
Se sentant si coupable de cette faute évitable
Belle journée de printemps où le calme régnait
Elle, seule responsable de sa propre faiblesse
Face à ce silence oppressant qui la tuait
A son geste ayant provoqué tant de tristesse
Sa souffrance à présent dévoilée au grand jour
Elle a pu la nourrir chaque jour d'un peu d'amour
Elle a brisé le silence, fruit de ses souffrances
A trouvé l'espérance d'une prochaine délivrance
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