Mon destin n’appartient qu’à moi,
Mes pensées, mon cœur, mes choix.
Sans doutes ?? Ne jamais dire jamais !!
Pas de regrets ?? Pas d’angoisses ??
Comment l’écrire ?? Je n’en sais rien !!
Est-ce encore présent ?? Je le sens vibrer !!
Le vide, attendant, patientant,
Quoi ?? – qu’est-ce que j’en sais !!!! Rien !!
Tout !! Toi, Moi, et les Autres ???
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Et Les Autres ?
09 December 2006 - 01:45 AM
Au Vent
06 December 2006 - 03:33 PM
En chemin sur l'air des vallons,
Souffle ce délicieux vent en haillons.
Il bouscule les tresses des blés,
La double flûte des pistils en siffle.
Son visage appartient aux cœurs des tournesols,
Corollaire, il touche le soleil,
Les ondes de mon cœur vibrent au son de sa respiration.
Au vent, je jette les étoiles,
Sur ta peau, mes mains posent les frissons du temps arrêté.
Insaisissables, douces, arrogantes,
Ses ailes caressent la clarté de mes pensées.
Auréolée de ce tourbillon frais,
Je touche des doigts, l'espace d'un instant, la Terre.
Je l'observe, je la déguste, je m'y saoule.
Telle une damnée au jour de sa seconde vie,
Noyée, ocre, dans l'harmattan matinal,
Les yeux sous le fouet du sable,
Libre d'avancer, aux choix de l'air des chemins.
Souffle ce délicieux vent en haillons.
Il bouscule les tresses des blés,
La double flûte des pistils en siffle.
Son visage appartient aux cœurs des tournesols,
Corollaire, il touche le soleil,
Les ondes de mon cœur vibrent au son de sa respiration.
Au vent, je jette les étoiles,
Sur ta peau, mes mains posent les frissons du temps arrêté.
Insaisissables, douces, arrogantes,
Ses ailes caressent la clarté de mes pensées.
Auréolée de ce tourbillon frais,
Je touche des doigts, l'espace d'un instant, la Terre.
Je l'observe, je la déguste, je m'y saoule.
Telle une damnée au jour de sa seconde vie,
Noyée, ocre, dans l'harmattan matinal,
Les yeux sous le fouet du sable,
Libre d'avancer, aux choix de l'air des chemins.
Ecriture
04 December 2006 - 07:45 PM
Rituel scriptural et visuel,
De passagères envies aux frénétiques tremblements,
Clair-obscur des couloirs de la pensée,
Je désire le nourrir au grès des pages.
Reproduction infidèle,
Je ne parviens que rarement à retranscrire
Ce qui construit chacun d’entre nous.
Suggérer d’intrigantes images,
Au delà des pinceaux et palettes.
De nocturne en diurne inspiration,
Chef d’orchestre, elle mime la mesure,
Notes noires et blanches, pizzicati,
Tibiae pares et voci.
Salvatrice gardienne d’un destin inconnu,
Egaré dans l’aube.
De passagères envies aux frénétiques tremblements,
Clair-obscur des couloirs de la pensée,
Je désire le nourrir au grès des pages.
Reproduction infidèle,
Je ne parviens que rarement à retranscrire
Ce qui construit chacun d’entre nous.
Suggérer d’intrigantes images,
Au delà des pinceaux et palettes.
De nocturne en diurne inspiration,
Chef d’orchestre, elle mime la mesure,
Notes noires et blanches, pizzicati,
Tibiae pares et voci.
Salvatrice gardienne d’un destin inconnu,
Egaré dans l’aube.
L'envol
02 December 2006 - 11:42 PM
Sciage bleuté
Nous porte aux horizons voisins,
Les oubliettes déployées
Nos yeux nous inviteront.
Etrange vision que cette
Pluie d’astres en tourbillons,
Les ailes légères vers l’aurore
Le chant du cor soufflant la poussière.
Paisible voyage
Aux invisibles révolutions,
L’exquise lunaison, désormais
Perçue en apesanteur stellaire.
Nous porte aux horizons voisins,
Les oubliettes déployées
Nos yeux nous inviteront.
Etrange vision que cette
Pluie d’astres en tourbillons,
Les ailes légères vers l’aurore
Le chant du cor soufflant la poussière.
Paisible voyage
Aux invisibles révolutions,
L’exquise lunaison, désormais
Perçue en apesanteur stellaire.
Une Boule
30 November 2006 - 09:59 PM
Une boule dans ma tête,
Vite, elle roule, tourne-boule,
Pfft, rapide et là, paf ! elle s'arrête.
Mes yeux se ferment lentement,
Mon front se plisse légèrement,
Ma bouche s'entre-ouvre spontanément !
J'ai chaud, j'enlève mon pull,
Je m'allonge, je m'apaise,
Et avec toi, je m'endors dans ma bulle !
Vite, elle roule, tourne-boule,
Pfft, rapide et là, paf ! elle s'arrête.
Mes yeux se ferment lentement,
Mon front se plisse légèrement,
Ma bouche s'entre-ouvre spontanément !
J'ai chaud, j'enlève mon pull,
Je m'allonge, je m'apaise,
Et avec toi, je m'endors dans ma bulle !
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