Quand on relit des textes que nous avons écrits, quand on regarde des photographies que nous avons prises, on retrouve, étrangement, un peu de la sensation physique de l’instant, de la douceur ou de la fraîcheur de l’air, un peu de la lumière éclatante, un peu de la pénombre où nous nous trouvions. En se reli...
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michelconrad' Blog
Parmi les ombres de la vie,
l'amour est la seule lumière,
dès le moment où je vous vis,
la vie de ce moment s'éclaire,
l'amour est la seule lumière,
le Temps demeure une brûlure,
la vie de ce moment s'éclaire,
le feu d'aimer est la blessure,
le Temps demeure une brûlure,
dans...
l'amour est la seule lumière,
dès le moment où je vous vis,
la vie de ce moment s'éclaire,
l'amour est la seule lumière,
le Temps demeure une brûlure,
la vie de ce moment s'éclaire,
le feu d'aimer est la blessure,
le Temps demeure une brûlure,
dans...
Décrire un sentiment,
crayonner l'ineffable,
ton doux regard ardent,
les élans de ton âme,
crayonner l'ineffable,
ta soif de poésie,
les élans de ton âme,
vers l'au-delà d'ici,
ta soif de poésie,
mots comme des aimants,
vers l'au-delà d'ici,
décrire un sentime...
crayonner l'ineffable,
ton doux regard ardent,
les élans de ton âme,
crayonner l'ineffable,
ta soif de poésie,
les élans de ton âme,
vers l'au-delà d'ici,
ta soif de poésie,
mots comme des aimants,
vers l'au-delà d'ici,
décrire un sentime...
« Les cœurs ont des secrets divers, incompréhensibles à d'autres coeurs » (Chateaubriand). Ecrire, n'est-ce pas tenter de déchiffrer les hiéroglyphes « d'autres coeurs », avant que le monde ne devienne un désert sans écho ?
Puisque la vie, puisque le jour
me tiennent loin de mon amour,
je chanterai ma peine au vent,
à la clairière, au ciel changeant,
je changerai ma peine en or,
transmutant le verbe en trésor,
je marcherai dans les saisons,
transformant mon deuil en chansons,
et je dirai comment ma belle...
me tiennent loin de mon amour,
je chanterai ma peine au vent,
à la clairière, au ciel changeant,
je changerai ma peine en or,
transmutant le verbe en trésor,
je marcherai dans les saisons,
transformant mon deuil en chansons,
et je dirai comment ma belle...
Le vrai ressort de l’écriture, c’est notre fragilité, notre vulnérabilité, notre condition de passant incertain, passager de l’abîme, au milieu de tout ce qui, quoi qu’il advienne, est appelé à nous survivre.
L’écriture s’inscrit, ainsi, comme une chose infiniment fragil...
L’écriture s’inscrit, ainsi, comme une chose infiniment fragil...
Solstice d'hiver : ce sommet de la nuit, autour de nous, en nous, peut-être, pour reprendre notre marche, une nouvelle fois, si Dieu le veut, vers l'autre solstice, celui que chante Rimbaud :
« A quatre heures du matin, l'été,
Le sommeil d'amour dure encore.
Sous les bosquets, l'aube évapore
L'odeur du soir f...
« A quatre heures du matin, l'été,
Le sommeil d'amour dure encore.
Sous les bosquets, l'aube évapore
L'odeur du soir f...
Sur l’océan des jours,
l’amour, le désamour,
voguent l’instant, les heures,
s’envolent les bonheurs :
rêver est le dernier
fragment d’éternité.
29/12/17
l’amour, le désamour,
voguent l’instant, les heures,
s’envolent les bonheurs :
rêver est le dernier
fragment d’éternité.
29/12/17
Avec des mots,
sur le papier,
faire un pas,
vers l’éternité.
29/12/17
sur le papier,
faire un pas,
vers l’éternité.
29/12/17
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