michelconrad' Blog

L’amour est une blessure, mais c'est une blessure miraculeuse, sans laquelle nous demeurerions semblables aux rochers que s’efforce, sans cesse, en vain, de réveiller l’océan.
 
 
 

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Des mots,
 
toujours neufs,
 
toujours nouveaux,
 
toujours renouvelés,
 
pour faire venir à moi
 
le soleil de mes rêves,
 
le bonheur de tes lèvres,
 
la fragrance de ton corps,
 
tes intimes trésors,
 
la douceur de ta flamme,
 
l’in...

Aimer, c’est enjamber
 
l’absence, le silence,
 
 
 
l’oubli.
 
 
 
 
27/5/2020
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Souvent, les gens tournent la tête,
même parfois, ils font semblant,
mon cœur n’est pas une girouette,
je vous aime éternellement.

26/5/2023
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Et puis il y a ce moment si douloureux du printemps
 
juste après que les pétales du pommier sont tombés
 
ce n’est pas encore l’été
 
et ce n’est pas le printemps
 

le monde s’est arrêté .
 
 

 

1975
 
 

Certains êtres, certains lieux ont été, pour moi, des rencontres sacrées, dont il me reste, aujourd’hui encore, des étincelles de lumière.
 

Parce qu’ Eve Malleret (1945-1984), qui traduisit Marina Tsvétaieva, avec tant d’âme, m’a dit, un jour : « toi, un poète, tu n’...

On croit interroger les dieux : ne sont-ce pas les dieux qui nous interrogent ? « Quo vadis ? », « où vas-tu ?  ». -- Mais voilà : le savons-nous nous-mêmes ?
 
Le seul chemin que nous suivons, à coup sûr, c’est celui de l’horloge, car, plus que dans l’espace, n’est-ce pas,...

Vous êtes ce qui me donne envie de me lever, de découvrir la couleur du ciel, la saveur des choses, le piment de la vie, le pain et le sel des heures, le miel des silences, la ruche des douceurs.
Vous êtes ce qui me fait écrire, vous êtes la fraîche source, vous êtes l’odalisque, vous êtes la métamorp...

Sous un très beau ciel d’azur,
pour rejoindre les boutons d’or,
 
les corbeilles d’argent font le mur,
qu'elles soient d'argent, qu'elles soient d'or
 
moi, toutes  deux, je les adore.
 
 
 
               ...

Comment m’est venu le désir de vous ? Je ne le sais pas. Je sais seulement que rien ne peut l’éteindre. C’est une vague venue de loin, qui m’emporte, corps et âme, en me donnant la sensation d’exister, en aiguisant ma soif de vous, comme on attise un feu.

 

3/4/23


 
 
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