Sans avoir entendu vos pas,
vous habitez tous mes silences,
vous aimer, c’est donc bien cela,
une joie mêlée de souffrance,
vous que j’aime avec constance,
sans avoir entendu vos pas,
votre absence est une présence,
vous aimer, c’est donc bien cela,
vous faites votre féal de moi...
vous habitez tous mes silences,
vous aimer, c’est donc bien cela,
une joie mêlée de souffrance,
vous que j’aime avec constance,
sans avoir entendu vos pas,
votre absence est une présence,
vous aimer, c’est donc bien cela,
vous faites votre féal de moi...