Posté par michelconrad,
14 novembre 2017
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Les textes que l’on écrit finissent par constituer un théâtre d’ombres : ces instants de vie sont captifs, comme le sont les insectes des temps antédiluviens dans l’ambre millénaire. Mais que reste-t-il de la vie vibrante, de la douceur de la peau, du feu de la caresse ?
Posté par michelconrad,
14 novembre 2017
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Le médecin que je consulte pratique la thérapie par la joie de vivre. Toujours rayonnant de joie apparente, il accueille avec toutes les manifestations d’une joie extrême chacun de ses patients, comme s’il vivait un instant béni, le plus heureux moment de sa journée.