Aigue-marine
éta ient tes yeux,
qu’arrive-t-il
là-bas, aux cieux ?
Le Temps me tue,
à petit pas,
dis, m’attends-tu
dans l’au-delà ?
Toujours ta porte
m’était ouverte,
maman, si forte
reste ma perte.
16/6/18
éta ient tes yeux,
qu’arrive-t-il
là-bas, aux cieux ?
Le Temps me tue,
à petit pas,
dis, m’attends-tu
dans l’au-delà ?
Toujours ta porte
m’était ouverte,
maman, si forte
reste ma perte.
16/6/18