« Les pétales tombés des cerisiers de mai
Sont les ongles de celle que j’ai tant aimée » (Apollinaire).
Ce qui chante, ici, c’est le printemps entier, cette nature en fleurs qui entre en osmose, en fusion, avec l’amour. Mais ce qui fait que ces deux vers sont le « temps fort ...
Sont les ongles de celle que j’ai tant aimée » (Apollinaire).
Ce qui chante, ici, c’est le printemps entier, cette nature en fleurs qui entre en osmose, en fusion, avec l’amour. Mais ce qui fait que ces deux vers sont le « temps fort ...