En hommage à Thomas et Figaro et en guise de petite consolation...
De si longues années, près du cœur de ton maître
On voyait se blottir ta brune silhouette,
Tu hantais son foyer, telle une âme discrète
Œuvrant paisiblement à son parfait bien-être.
Tes ronronnements frêles et tes ge...
De si longues années, près du cœur de ton maître
On voyait se blottir ta brune silhouette,
Tu hantais son foyer, telle une âme discrète
Œuvrant paisiblement à son parfait bien-être.
Tes ronronnements frêles et tes ge...