Les Symphonies de Bruckner
Pyrophilia
culmine son château de brûlance
ses cheveux longs en autan
contrepointent de jais le rubato des flammes
depuis le pénultième hurlement
l'assumation forjette une tour
dans l'incandescence des amants
le franchissement épuré taille les degrés
à autoriser les meurtrières en son tréfonds
moindre encor la chair de Pyrophilia
la confluence des limbes cardinales
corolle de vents polychromes vouée au délivreur
y pâlit sa navrance surie
hyalocarde et alvéoles se redéfinissent au naissant emplir
les vaisseaux musiqués
jusqu'à la capillarité qui porte
passent le sceptre des rais
et venu parrainer déclins et consumances
ce symbiotique finale...
de son apostolat colosse
combien s'irrigueront les rameaux
qui tressent l'asymbolie avec les passées des météores...
les incalculées tuileries
perpétuels dénudements à la parieuse d'empyrées
que seule une myriabole gamme argumente
Pyrophilia
culmine son château de brûlance
ses cheveux longs en autan
contrepointent de jais le rubato des flammes
depuis le pénultième hurlement
l'assumation forjette une tour
dans l'incandescence des amants
le franchissement épuré taille les degrés
à autoriser les meurtrières en son tréfonds
moindre encor la chair de Pyrophilia
la confluence des limbes cardinales
corolle de vents polychromes vouée au délivreur
y pâlit sa navrance surie
hyalocarde et alvéoles se redéfinissent au naissant emplir
les vaisseaux musiqués
jusqu'à la capillarité qui porte
passent le sceptre des rais
et venu parrainer déclins et consumances
ce symbiotique finale...
de son apostolat colosse
combien s'irrigueront les rameaux
qui tressent l'asymbolie avec les passées des météores...
les incalculées tuileries
perpétuels dénudements à la parieuse d'empyrées
que seule une myriabole gamme argumente
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Loup-de-lune
« Vos impressions langagières, vos murmures où se pénètrent la lune et la lumière du soleil, sont des chemins cosmiques, des raisins en feux d’hirondelles, dansant à l’intérieur de vos genoux mentaux, éternels (...)
O silence où vos clartés cognitives, en des chevelures d’hydres acoustiques, se ramifient, s’irradient, des soleils poétiques d’yeux, aux beautés esthétiques nouvelles (...)
ô belle Poétesse, aux diamants de doigts, libellules présence, dont la musicalité plastique, aurorale, peinture, génère des folies contemplatives, des nudités, où votre poétique pense comme des millions de bras s’accouplant d’idéalité infinie (...)
des violoncelles intellectualisés, comme des sourires enfantant des plénitudes en baisers littéraires (...)
quintessence des mots à puits infinis (...)
votre style des larmes de pain en cécité des images bues, volées, aux miroirs, des mains invisibles, comme des lèvres récitant, les voyelles de l’amour humain, comme des blessures à flots d’émotions violettes, vapeurs des cataractes bleues, blanches... des transports où crie un désir de perfection (...)
J’aime la chimie de vos écrits fantasmés, des polyglottes déhiscences, des onirismes plastiques, ô Poétesse des transports (...) où vous informatisez, des danses sculpturales, (...) des voyelles à prières temporelles, des amours à continences, les lèvres des libellules moutonnées, des rires scientifiques (...)
Je danse, en vous lisant »
Clément Velluet