Les Symphonies de Bruckner
Lysinia
s'immaculant un éparpillage de cirropâquis
se déprend des bêtes sommitales
d'un chiffre cérulé
va croissant leur espacement
tous les cerbères de mélanérythrie
ont vassalisé leurs bris à son pas qui pétille
déjà la borne phosphore
de l'épitaphe des veules
Lysinia ne mortifie plus son volcan digital
c'est qu'à nouveau il sait origamier
et darder les contrats en évanouissantes ptérocalles
les étoiles indemnes des acharnées réfringences
silhouettent l'arceau dans la violonaorte
ces portées prodigues d'itinérance
pour une dalle encline au disparaître
cette concorde des notes avec la gnose des phosphènes
leurs hampes pour javelles au messidor des fiducies
à ses tempes inconnues
se défaufile la fraîche relique du vaisseau
s'égaillent les ballots somatiques
indiciaire bariolage de la ruption
humus et firmament s'entrelacent
où les cuivréclairs
transfigurent le mêlement des andantes
Lysinia
s'immaculant un éparpillage de cirropâquis
se déprend des bêtes sommitales
d'un chiffre cérulé
va croissant leur espacement
tous les cerbères de mélanérythrie
ont vassalisé leurs bris à son pas qui pétille
déjà la borne phosphore
de l'épitaphe des veules
Lysinia ne mortifie plus son volcan digital
c'est qu'à nouveau il sait origamier
et darder les contrats en évanouissantes ptérocalles
les étoiles indemnes des acharnées réfringences
silhouettent l'arceau dans la violonaorte
ces portées prodigues d'itinérance
pour une dalle encline au disparaître
cette concorde des notes avec la gnose des phosphènes
leurs hampes pour javelles au messidor des fiducies
à ses tempes inconnues
se défaufile la fraîche relique du vaisseau
s'égaillent les ballots somatiques
indiciaire bariolage de la ruption
humus et firmament s'entrelacent
où les cuivréclairs
transfigurent le mêlement des andantes
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Loup-de-lune
"Les cristaux de l’amour dansent à l’intérieur, des pluies blondes, rosées, géométries, des plumes acoustiques, temporelles, où les profondeurs de vos écrits, Loup-de-lune, irradient des symptomatologies, des brûlures d’ossements, des puissances de cors digitales, des profondeurs, en transparence, des cryptologiques fragrances, où votre muse est comme une orchestration, une symphonie célébrant, la maïeutique, des langues confondues, des langues nouvelles (...)
Poings arrosés, des belles abeilles infinies, de votre âme botaniste des créations d’anges précieuses... des merveilles de tractations, de vos mots enchaînés, entrelacés, instillent des trouvailles, des jaillissements, des prodiges inventifs, au-delà des épileptiques molécules (...)
Incandescence des passionnelles écritures, où vous créez des composantes, des énergétiques, des soleils à cicatrices transcendées, percées, les feux exhalés, de votre art taché de magnificence, des identiques ADN, des instincts, en plantes criblées, des guitares littéraires, électricités, des informations complexées, de votre verve, dont j’assimile les pensées vitalistes, impressionnistes, des astres diamantés, les nudités en intelligence, des êtres en perles, où votre réflexivité est comme un diapason parfait, dont la maîtrise de la langue est génératif, de vos torsions, de vos pneumatismes contrôlés, créationnismes, des visages temporels (...)"
Clément Velluet
'L'art a pour fonction de refléter ce qui est impalpable, impossible, en reflet. Il a pour fonction de stigmatiser les représentations du doute en absence idéologique, là où il se nourrit de nourritures hypostasiées, des réceptacles abstraits.'
Clément Velluet, Sorcellerie de la langue