Dans l’avant-printemps, on taille la vigne, de façon que toute l’énergie présente dans la sève, et qui parcourt déjà les sarments, accède aux grappes qui vont naître. De la même façon, on élague le poème, pour permettre que jaillisse, du cœur de la sombre machinerie de l’écriture, « le beau fruit de la lumière ».
13/3/19
Comme c'est délicatement "dit."..
belle journée au poète, alors!
hasia