Quelque fut ton crime, voilà ton châtiment :
Ton corps aux fers, enfermé entre quatre murs,
Un obscure prison sans vie ni agrément,
Ton esprit emprisonné, mentale torture,
En lui même où il hurle son désespoir ;
Repense donc a ta vie, remémore toi
Les moments de bonheur, les envies les espoir,
Et sourit dans le noir, pour la dernière fois.
Le soleil croit l’Est, entrant dans ton cachot
Par l’étroite lucarne, la bas, tout en haut.
En ton dernier matin, pardonne toi ta faute,
Et pleure, mon frère, ces larmes dans ta geôle
Te garderont sur l’échafaud la tête haute
Pour le peu de temps qu’elle tiendra tes épaules.
Condamné à mort
Débuté par Piwhy, avril 05 2007 12:53
1 réponse à ce sujet
#1
Posté 05 avril 2007 - 12:53
#2
Posté 05 avril 2007 - 04:10
[quote name='Piwhy' date='Apr 4 2007, 11:53 PM' post='7396']
Vraiment dommage que ça se termine sur un dernier vers (celui du condamné sans doute...) qui lui met, à y bien réfléchir, la tête toute à l'envers...!
Je propose donc : "pour le peu de temps qu'elle tiendra à /sur tes épaules."
Amicalement,
Paname
Vraiment dommage que ça se termine sur un dernier vers (celui du condamné sans doute...) qui lui met, à y bien réfléchir, la tête toute à l'envers...!
Je propose donc : "pour le peu de temps qu'elle tiendra à /sur tes épaules."
Amicalement,
Paname