Il y a de forts éminents professeurs d'université, toute une méchante tonne, qui célèbrent et traitent la statue Rimbaud de FRERE, parfois, dans un poignant poème rassi, un moment d'honteux égarement lucide...
A savoir qu'il ne s'agira plus d'en rire; ni d'oublier aucun culte nauséabond de poète disparu...
Une proposition, en passant : un criminel, pour piquer ces têtes pleines d'intellect sur des pieux, aiguisés, offerts à tous les vents, tel que l'odeur malade des crânes décomposés pénètre et emplisse à merveille la merveilleuse bâtisse estudiantine...
Nous verrions alors s'éparpiller les cuistres, dans un rêve digne des plus grandes joies...
Voici que votre fauteuil de velours solaire s'avance : prenez donc place, très sérieux spectateur, et commencez à vous saoulez d'obscures odeurs anticipées...
Rimbaud à l'Université.
Débuté par Vivien, mars 11 2008 12:50
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