Sur les hauts-plateaux du Vercors
Le vent flaire nos corps
Il effleure de sa paume légère
Le mohair des fleurs printanières
Et flatte les courbes cristallines
Du léopard des névés et collines
Un millier de sapins aériens
Font rugir d'un rien
Sa respiration souple et ample
Ce sont les colonnes d'un temple
Dont nous sommes les fidèles
A jamais rebelles
Dans l'espace des hauts-plateaux
Le temps desserre son étau
Les pieds volent sur le sentier
Et nous demeurons entiers
Il n'est pas de retour possible
Juste un aller plus sensible
VENT 2
Débuté par MarcoPolo, avril 05 2007 08:08
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