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#1 Invité_ermite_*

Invité_ermite_*
  • Invité

Posté 23 avril 2007 - 05:54

Loin d'elle, loin des ptyalismes et le soupir
J'écoutais fréquemment quelques refrains
Des maîtres chanteurs avant de m'assoupir
Controuvé sur l'alluvion des remous marins.

Devant elle et ses postures désagréables
J'aiguisais mon ire et ma raison insatiable
Pour déchirer ses voiles et son ton instable
Qui recouvrait ma béatitude impénétrable.

Je voyais peu la lumière du jour et le soleil,
Je ne cherchais nullement à me plaire le jour ;
Je me rassérénais pleinement du pareil
Climat qui modérait toutes mes nuits d'amour.

Restez vifs devant mes brunes couleurs
Et le silence qui régurgitait ma voix douce !
Je me plairais amplement en leurs lueurs
Qui faisaient briller mes yeux et ma frimousse.

Appâtez Morphée avant d'appâter vos rêves !
Ce soir j'enverrais mes adieux à Clio avant
D'envelopper ma nuit dans une mémoire brève
Uniquement pour vous renvoyer à vos limons.

Nous avons ensemble brisé l'amour et ses lances
Les joies et les souffrances, mais aujourd'hui
vous me trouveriez devant les portes du silence,
pour vous dire qui vous êtes, vous mes ennemis.



moi hamid khenat et non rabah, l'oranais la nuit et complices.