L'iris en son métal
Avait l'œil en pâleur
Comme un soleil sans plomb
Dépuré de ses affres
Une pointe aux rayons
Blessés par la douleur
Il est midi ce soir
Débuté par Carla., mai 31 2007 12:26
5 réponses à ce sujet
#1
Posté 31 mai 2007 - 12:26
#2
Posté 01 juin 2007 - 11:56
Impression un peu surréelle...
Sans le verbe (avait), cela donnerait une sorte de formule alchimique saturnienne...
Très joli.
Sans le verbe (avait), cela donnerait une sorte de formule alchimique saturnienne...
Très joli.
#3
Posté 02 juin 2007 - 11:49
L'iris en son métal
Avait l'œil en pâleur
Comme un soleil sans plomb
Dépuré de ses affres
Une pointe aux rayons
Blessés par la douceur
J'ai essayé de cerner le sens... et j'ai pensé que je m'étais trompée. Alors j'ai essayé de relire, juste à l'oreille et aux images. Et j'ai trouvé une porte.
Il y a iris. Il y a blessure. Il y a humanité. Il y a un fondement.
Jaguar.
#4
Posté 02 juin 2007 - 11:49
L'iris en son métal
Avait l'œil en pâleur
Comme un soleil sans plomb
Dépuré de ses affres
Une pointe aux rayons
Blessés par la douceur
Et le titre du texte me transporte.
#5
Posté 03 juin 2007 - 12:57
La route est longue
lorsqu'éblouie soudain
l'horizon est une frontière
humide
est bien long le chemin
où
nous mangerons
encore.
Ah bin merci Clara !
lorsqu'éblouie soudain
l'horizon est une frontière
humide
est bien long le chemin
où
nous mangerons
encore.
Ah bin merci Clara !
#6
Posté 04 juin 2007 - 08:45
Merci pour vos lectures. Je ne sais pas s'il faut chercher à cerner le sens, juste se laisser prendre par les mots peut-être...