salut
#1 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 04 juin 2007 - 04:46
#2 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 04 juin 2007 - 06:36
#3
Posté 04 juin 2007 - 07:46
Toujours
Le regard lubrifié
Car il est écrit que tout s'évanouit
Toujours
Comme un gode-ceinture satiné.
Ma soeur!
La femme damnée,
Une lesbienne libertine,
Sous la cuisse me doigte,
Lubrifiante.
Regard chatouilleur qui s'évanouit
Faire lentement
Baiser, la lèvre s'enflamme toujours,
Elle déguste.
J'éprouve l'une ou l'autre réserve subjectivement hystérique, je trouve, cependant, le texte audacieux.
Et puis il y aune forme de légèreté enjouée... dans laquelle se cache à peine un grave mystère.
Si en plus... y'a citation de Novalis... le mystère est intact et c'est délicieux.
Voilà mon avis.
Jaguar.
#4 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 04 juin 2007 - 09:40
#5
Posté 04 juin 2007 - 09:48
J'éprouve l'une ou l'autre réserve subjectivement hystérique
je ne comprends pas
mais je suis très touchée de ton commentaire
J'aime le texte. Mais j'ai quelques réserves. Et ces réserves sont dues à ma subjectivité et à mon hystérie. Elles n'engagent que ma perception.
Jaguar.
#6 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 04 juin 2007 - 10:42
#7
Posté 05 juin 2007 - 05:03
la perception est affaire subjective
rien de mal en cela
quand à l'hystérie
L'hystérie ! Pourquoi ce mystère physiologique ne ferait-il pas le fond et le tuf d'une œuvre littéraire, ce mystère que l'Académie de médecine n'a pas encore résolu, et qui, s'exprimant dans les femmes par la sensation d'une boule ascendante et asphyxiante (je ne parle que du symptôme principal), se traduit chez les hommes nerveux par toutes les impuissances et aussi par l'aptitude à tous les excès ? Baudelaire
Joli !
#8 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 05 juin 2007 - 05:31