salut
#1 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 06 juin 2007 - 08:51
#2 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 06 juin 2007 - 03:51
#3 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 06 juin 2007 - 03:52
#4
Posté 06 juin 2007 - 05:03
A la halte,
Un désir les unit
Tétonnées.
Elles s'en vont indolemment,
Corps frissonne
Sous leurs mains longuement promenées.
La tiède nuit du rond-point,
Plus propice blancheur.
Ah les lunaires
Ont bleui leur lécheur.
Surmaturité superbe de leurs murmures
S'exalte,
Préparant leur long baiser tous poils dehors.
Et là la clairière,
L'une dressant le torse
Et l'autre se courbant
Au bord du banc.
Un beau tendu,
On imagine, du cul, grassement
Haut, lourd monstre éperdu
Regardant en arrière,
Et rêvant de voir le banc dans le vague éclat.
Entre Novalis et Vivien... je vois que tes références à toi sont précises.
En littérature, cela équivaudrait à Goethe (pour Novalis) et Benoîte Groult, quoi (pour Renée Vivien). Ou Elisabeth Badinter. Ou de Beauvoir.
Quant à ton texte, il permet un sérieux voyage.
Jaguar.
#5 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 07 juin 2007 - 11:45
#6 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 07 juin 2007 - 11:48
#7 Invité_Haïgu Maya_*
Posté 07 juin 2007 - 11:50