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la ligne blanche


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5 réponses à ce sujet

#1 l'aubergiste

l'aubergiste

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Posté 11 juin 2007 - 01:07

La mort

a pris ses quartiers en moi

où dans quel coin

je ne sais pas

est-ce vers le cœur

ou du côté des forges du souffle

qu’elle campe

près de ces carrefours dangereux

où la folie roule

tantôt à gauche tantôt à droite

et dieu sur la ligne blanche

dort-elle dans mon ventre

et ce qui parfois y remue

partageant la couche de mon poème

serait-ce elle déjà

que je devine si douce

vais-je l’aimer comme j’ai pu aimer

rampe-t-elle là dans mes veines

pour en jaillir soudain le moment venu

et me submerger

imposer à ma bouche

sa main d’algues

ligotant le cri qui oserait

il fait sombre chez moi

et la clarté n’entre

qu’à mesure que ma vie fuit

comme cette eau inutile

de Tinguely

et ces ardoises

de Rothko

où j’aligne impénitent

mes zéros

il fait sombre chez moi

mais j’ai pu l’apercevoir

je l’ai trouvée belle

elle m’a souri et a dit

tu vois on t’a menti aussi

sur moi






#2 laure

laure

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Posté 11 juin 2007 - 01:24

bonjour !

loin de moi la polémique, j''ai autre chose à faire de plus intelligent , mais la moindre des politesses serait que tu publies que deux textes par 24 heures, merci.

laure.

#3 zqfd

zqfd

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Posté 11 juin 2007 - 04:50

pas mal mais la mise ne page est pourrie. organise des strophes, y'a des coupures nettes.

#4 CELUI QUI SAIT

CELUI QUI SAIT

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Posté 11 juin 2007 - 05:03

La mort

a pris ses quartiers en moi

où dans quel coin

je ne sais pas

est-ce vers le cœur

ou du côté des forges du souffle

qu'elle campe

près de ces carrefours dangereux

où la folie roule

tantôt à gauche tantôt à droite

et dieu sur la ligne blanche

dort-elle dans mon ventre

et ce qui parfois y remue

partageant la couche de mon poème

serait-ce elle déjà

que je devine si douce

vais-je l'aimer comme j'ai pu aimer

rampe-t-elle là dans mes veines

pour en jaillir soudain le moment venu

et me submerger

imposer à ma bouche

sa main d'algues

ligotant le cri qui oserait

il fait sombre chez moi

et la clarté n'entre

qu'à mesure que ma vie fuit

comme cette eau inutile

de Tinguely

et ces ardoises

de Rothko

où j'aligne impénitent

mes zéros

il fait sombre chez moi

mais j'ai pu l'apercevoir

je l'ai trouvée belle

elle m'a souri et a dit

tu vois on t'a menti aussi

sur moi




Réalité de chaque jour.Mais rassures toi elle t'attend au tournant(la mort)c'est inévitable.Bien à toi.

#5 l'aubergiste

l'aubergiste

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Posté 11 juin 2007 - 06:40

Réalité de chaque jour.Mais rassures toi elle t'attend au tournant(la mort)c'est inévitable.Bien à toi.



et oui ! c'est pour ça qu'il vaut mieux se la concilier... mais on a le temps. Merci pour votre billet.
christian

#6 l'aubergiste

l'aubergiste

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Posté 11 juin 2007 - 06:43

pas mal mais la mise ne page est pourrie. organise des strophes, y'a des coupures nettes.



remarque pertinente ou judicieuse ... au fond ? comment faudrait-il dire.

Merci pour le conseil,
bien à vous.

cea.