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Inter-action....


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3 réponses à ce sujet

#1 iahhel

iahhel

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  • 186 messages

Posté 11 juin 2007 - 03:32

Inter-action....

Résurgences des temps
qui s'avancent, pas à pas,
sous les lattes du parquet
rongées par les évènements.
Les affres ont peu à peu
vermoulu l'armature,
des faits, des gestes,
des situations que l'on côtoie,
des odeurs qui flottent....
La barque est pourrie
et pourtant, vogue la galère !

Elle tient le cap, droit devant...
Passent les jours, défilent les nuit,
mais rien ne change tout continu
La poupe au vent le temps s'enfuit...
droit dans le mur pour en finir

J'avance et reste vigilant
asservi par le temps,
suspendu à son souffle,
égal à moi-même...
Sous les couches de vernis
se cache la misère, l'économie,
comme une bête qui se terre
et le mal poursuit son Å“uvre...
L'argent, le pouvoir, l'avancée
tout cela, conjugué à notre perte
nous poussant toujours vers l'avant...

Elle tient le cap, droit devant...
Passent les jours, défilent les nuit,
mais rien ne change tout continu
La poupe au vent le temps s'enfuit...
droit dans le mur pour en finir

Alors, l'odyssée se brisera
ou, peut-être continuera
cycliquement, comme les saisons,
défiant toujours l'horizon...
Il faut avoir le nez dedans,
attendre, guerroyer, s'échouer,
peut-être mourir.
Subir la règle et sa grammaire ;
gérer au coup par coup,
accorder, encaisser
puis souvent, se relever....


Alors non, rien n'est achevé !

iah-hel

#2 l'aubergiste

l'aubergiste

    Tlpsien ++

  • Membre
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  • 106 messages

Posté 11 juin 2007 - 04:08

Inter-action....

Résurgences des temps
qui s'avancent, pas à pas,
sous les lattes du parquet
rongées par les évènements.
Les affres ont peu à peu
vermoulu l'armature,
des faits, des gestes,
des situations que l'on côtoie,
des odeurs qui flottent....
La barque est pourrie
et pourtant, vogue la galère !

Elle tient le cap, droit devant...
Passent les jours, défilent les nuit,
mais rien ne change tout continu
La poupe au vent le temps s'enfuit...
droit dans le mur pour en finir

J'avance et reste vigilant
asservi par le temps,
suspendu à son souffle,
égal à moi-même...
Sous les couches de vernis
se cache la misère, l'économie,
comme une bête qui se terre
et le mal poursuit son Å“uvre...
L'argent, le pouvoir, l'avancée
tout cela, conjugué à notre perte
nous poussant toujours vers l'avant...

Elle tient le cap, droit devant...
Passent les jours, défilent les nuit,
mais rien ne change tout continu
La poupe au vent le temps s'enfuit...
droit dans le mur pour en finir

Alors, l'odyssée se brisera
ou, peut-être continuera
cycliquement, comme les saisons,
défiant toujours l'horizon...
Il faut avoir le nez dedans,
attendre, guerroyer, s'échouer,
peut-être mourir.
Subir la règle et sa grammaire ;
gérer au coup par coup,
accorder, encaisser
puis souvent, se relever....


Alors non, rien n'est achevé !

iah-hel


bonjour fredo,

au moins toi tu as de la suite dans les idées et ça porte ses fruits, belle évolution , faut continuer

amtiés
cea

#3 litchie

litchie

    Tlpsien +++

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  • 435 messages

Posté 11 juin 2007 - 04:16

Génial, à quand l à quand la prochaine virée?

#4 CELUI QUI SAIT

CELUI QUI SAIT

    Tlpsien +++

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  • PipPipPipPip
  • 2 297 messages

Posté 11 juin 2007 - 05:00

Inter-action....

Résurgences des temps
qui s'avancent, pas à pas,
sous les lattes du parquet
rongées par les évènements.
Les affres ont peu à peu
vermoulu l'armature,
des faits, des gestes,
des situations que l'on côtoie,
des odeurs qui flottent....
La barque est pourrie
et pourtant, vogue la galère !
Elle tient le cap, droit devant...
Passent les jours, défilent les nuit,
mais rien ne change tout continu
La poupe au vent le temps s'enfuit...
droit dans le mur pour en finir

J'avance et reste vigilant
asservi par le temps,
suspendu à son souffle,
égal à moi-même...
Sous les couches de vernis
se cache la misère, l'économie,
comme une bête qui se terre
et le mal poursuit son Å“uvre...
L'argent, le pouvoir, l'avancée
tout cela, conjugué à notre perte
nous poussant toujours vers l'avant...

Elle tient le cap, droit devant...
Passent les jours, défilent les nuit,
mais rien ne change tout continu
La poupe au vent le temps s'enfuit...
droit dans le mur pour en finir

Alors, l'odyssée se brisera
ou, peut-être continuera
cycliquement, comme les saisons,
défiant toujours l'horizon...
Il faut avoir le nez dedans,
attendre, guerroyer, s'échouer,
peut-être mourir.
Subir la règle et sa grammaire ;
gérer au coup par coup,
accorder, encaisser
puis souvent, se relever....


Alors non, rien n'est achevé !

iah-hel

Tu es dans le train de la vie et la peur de sauter en marche fait que tu continue vers un rêve utopique......Mais sait-on jamais.......Un miracle?