Sincère à tout jamais, parmi nos interludes,
Des longueurs de ce temps et des parcimonies,
La belle inspiration qu'insuffle à nos envies
De n'aimer rien de moins, que les vicissitudes,
Et surgie d'un galop, la battue est feroce
Qui chasse la mémoire au sang qu'elle transporte.
Cette noirceur vomie , fera d'Elle une morte
Parce que le désavoeu convole en justes noces.
Desservira la vie, celui qui aime à peine.
Il baisera la main que la veuve tendit,
La paume grande ouverte, où chaque doigt serti,
Mortifiera l'enfant qui fit pleurer la reine.
Il est comme un pigeon sur une place grise
Où le mouron jeté sur ses deux ailes gourdes,
Rappellera les plombs que cette âme trop lourde,
Aux souvenirs tira, des cartons de Venise...
Des longueurs de temps et des parcimonies...
Débuté par belvis, juin 12 2007 10:47
5 réponses à ce sujet
#1
Posté 12 juin 2007 - 10:47
#2
Posté 12 juin 2007 - 11:22
A cette respiration...
#3
Posté 13 juin 2007 - 01:04
A cette respiration...
Lente,
pour être sur la photo...
#4
Posté 13 juin 2007 - 03:52
Annelyse,
Merci...
Merci...
#5
Posté 14 juin 2007 - 10:14
Echo au bravo d'Annelyse.
#6
Posté 15 juin 2007 - 05:04
Bien reçu l'écho,
merci à toi...
merci à toi...