Le parfum d'une femme est une fleur légère
Qui dévoile son âme au coin d'une étagère
Cette note déclame un besoin de mystère
J'aime de ces dames les senteurs éphémères
Ces si douces odeurs virevoltent au vent
Charmant au fil d'humeurs et au gré des courants
Le passant, le livreur, sans un atermoiement
Subtils accroche-coeurs aux pouvoirs entêtants
Les effluves enivrent, entraînent avec elles
Les hommes en dérive d'amour immortel
Une écharpe olfactive, une corde infidèle
Alors en nous s'inscrivent des envies rebelles
L'instinct nous pousse à virer et suivre la trace
De l'inconnue frôlée dans un plaisir fugace
Et par le bout du nez nous entrons dans l'audace
De l'amant déchaîné d'un avenir salace
Senteurs éphémères
Débuté par lessencedelavie, juin 16 2007 07:21
6 réponses à ce sujet
#1
Posté 16 juin 2007 - 07:21
#2
Posté 16 juin 2007 - 07:22
Et tu es plutôt cyprine ou plutôt merde ?
#3
Posté 16 juin 2007 - 07:38
En ce qui te concerne, y'a pas de doute !
#4
Posté 16 juin 2007 - 07:43
En ce qui te concerne, y'a pas de doute !
Hihi !
#5
Posté 16 juin 2007 - 09:22
Le monde pliera, qui d’autre que moi le sais ?
#6
Posté 16 juin 2007 - 09:24
'tain, voilà que ça m'enfle...
#7
Posté 17 juin 2007 - 04:40
'tain, voilà que ça m'enfle...
Essaie le flash, les gouttes marchent plus.