Le vent balaie le ciel....
Quitter la vitre où s'égoutte la dernière pluie
Ouvrir la fenêtre sur un horizon ferme
Laisser les mains prendre appui....
Le vent balaie le ciel....
Il pourrait prélever dans les encouragements amis,
Inventer une sortie positive.
Refaire demain à l'image d'hier
Le vent balaie le ciel....
Faire le malin
Parler de projets qui habillent
Comme en parade
Parade aux pierres qu'il avale
.
Il laisse filer la fumée d'une cigarette
Il sait d'autres comme lui
Qui côtoient la vie
Par des chemins de terre qui s'écroulent sans cesse.
Le vent balaie le ciel....
Et son courage avec
le vent balaie le ciel
Débuté par smoke, juin 19 2007 12:29
5 réponses à ce sujet
#1
Posté 19 juin 2007 - 12:29
#2
Posté 19 juin 2007 - 03:07
J'enlèverais "raffermi", Non? Petite brise à l'écho un peu triste...Mais pourquoi pas.
#3
Posté 19 juin 2007 - 04:35
Ce poème est une merde.
Mais il me permet un striiiike original.
Par le petit salon.
Mais il me permet un striiiike original.
Par le petit salon.
#4
Posté 20 juin 2007 - 10:28
Ce poème est une merde.
Mais il me permet un striiiike original.
Par le petit salon.
Ouf ! Ce compliment, venant de toi, efface mes doutes et m'encourage à continuer.
En passant, et tout à fait sincèrement tu me fais pitié. Je me demande ce que tu fous sur ce site. T'as rien de plus intéressant à faire ? C'est bien triste.
#5
Posté 20 juin 2007 - 10:32
J'enlèverais "raffermi", Non? Petite brise à l'écho un peu triste...Mais pourquoi pas.
Enlever "raffermi" ? Je ne sais pas, car effectivement je voulais, à ce stade là , conserver un reste d'écho un peu triste. Je pourrais peut-être le remplacer par "solide", "ferme" ?
Je fais la correction. Pour voir.
En tout cas merci de ton intérêt.
Amicalement
#6
Posté 20 juin 2007 - 11:30
Ce qui me faisait achopper,
était plus la succession de rimes en I.
Ceci étant elle disparaissait ensuite.
Je l'avais interprétée comme un retour machinal,
une activité vicariante,
comme la cigarette qu'on allume, pour ....
pour quoi, au fait ?
Mais c'est aussi une marque de ta fabrique,
cette forme de lissage des idées en fin de ligne par une rime unique.
Un autre "site de poésie" avertit les impétrants que la poésie, c'est - aussi - d'abord -
la sonorité et le rythme. Je sais que tu y es attentive, que tu souhaites conserver, ça, parfois.
Comme je n'ai jamais su marcher au pas à commencer dans mes propres textes, je m'abstiens sur le sujet.
Des goûts et des couleurs, eh ?
- non non, je ne parle pas de la violette ....
était plus la succession de rimes en I.
Ceci étant elle disparaissait ensuite.
Je l'avais interprétée comme un retour machinal,
une activité vicariante,
comme la cigarette qu'on allume, pour ....
pour quoi, au fait ?
Mais c'est aussi une marque de ta fabrique,
cette forme de lissage des idées en fin de ligne par une rime unique.
Un autre "site de poésie" avertit les impétrants que la poésie, c'est - aussi - d'abord -
la sonorité et le rythme. Je sais que tu y es attentive, que tu souhaites conserver, ça, parfois.
Comme je n'ai jamais su marcher au pas à commencer dans mes propres textes, je m'abstiens sur le sujet.
Des goûts et des couleurs, eh ?
- non non, je ne parle pas de la violette ....