J'ai rêvé de toi sans visage
je passais l'aspirateur dans les rues
c'était la nuit et j'exhumais le temps
en regardant les passants errer sans but
et dans la même pulsion que ma douleur
j'ai sublimé la folie
j'ai eu envie d'aimer
Variable.
#1
Posté 21 juin 2007 - 11:52
#2
Posté 21 juin 2007 - 12:01
#3
Posté 21 juin 2007 - 12:11
Mes pensées sont à toi,mon Âme soeur.
Joli poême.Bien à toi.
#4
Posté 21 juin 2007 - 01:00
J'ai rêvé de toi sans visage
je passais l'aspirateur dans les rues
c'était la nuit et j'exhumais le temps
en regardant les passants errer sans but
et dans la même pulsion que ma douleur
j'ai sublimé la folie
j'ai eu envie d'aimer
très très, très....quoi
beaucoup aimé
mon bémol "j'ai sublimé la folie"
peut-être pas indispensable
#5
Posté 23 juin 2007 - 10:37
J'ai rêvé de toi sans visage
je passais l'aspirateur dans les rues
c'était la nuit et j'exhumais le temps
en regardant les passants errer sans but
et dans la même pulsion que ma douleur
j'ai sublimé la folie
j'ai eu envie d'aimer
C'est nécessaire, de te croiser là de temps en temps.
Merci, sauvage.
Jaguar.
#6 Invité_Charlie_*
Posté 26 juin 2007 - 09:18
Indispensable!!!
Bisous
Charlo
#7
Posté 27 juin 2007 - 11:12
Guillaume,
"j'ai sublimé la folie" les circonstances de cet écrit m'amènent à penser qu'il m'était indispensable de mettre en exergue l'existence même de la folie, eu égard aux passants/vie/Temps.