" moi le fantôme du bus en acrostiches "
Mondain, comme un paon, je pavane
Où les ombres se déshabillent de peur,
Instantanément quand le soleil s'émane
Kleptomane, avec son dernier leurre.
Houleux, vers l'errance, l'étalon lésé
Entame quelques galops de débutant
Naïvement, pour rattraper la délaissée
Attendant les secours des vieux déments.
Ta nonchalance a laissé vieillir ton âge
Habilement sur le long chemin de la vie
Avant ta naissance et celle du vieux mage
Muselant les prédictions de tes ennemis.
Inexplicablement, tes souhaits trépassent
Devant la mollesse des jours qui talonnent
Justement les nuits qui les remplacent
Entre les flammes des déclins quand tu ronronnes.
Viendras-tu rajeunir où les morts renaissent
Où les fleurs restent avec leurs fragrances
Unies, où les fleuves restent bien lisses
Sur leurs alluvions et leurs décences ?
Hanteras-tu ton fantôme pour survivre ?
Avant toutes ces questions, j'ai parlé d'elle,
Insoucieux, et je ne vois pas pourquoi revivre
Sous ses réponses du moment qu'elle n'est plus « elle »
hamid khenat.
ni orange ni oranche.
ni citron ni médecin.
je n'ai rien d'un médecin et je suis loin, de l'être.
moh et sa camisole n'ont rien avoir ici.
moi le fantôme du bus. acrostiches.
Débuté par
Invité_khenatermite_*
, juil. 05 2007 03:26
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