Un enfant influence par la tristesse du monde :
Les yeux éblouis devant la beauté
Irréelle du futur et des science avancées
L'enfant reste là , sans bruit, sans bouger.
Dans ses pensées le gouffre devient grandissant
Pendant que le monde lui apprend
À fermer les yeux. À rester silencieux.
Que reste-t-il des forêts
Ont elles vraiment existées ?
Où bien le monde se serait amusé
À détruire nos idées ?
Et si, dans notre lieu de vie
Les idées innocentes de nos enfants étaient la clef
La sortie
Des idéales, de nos envies.
Ne serait-ce pas cela qui dans nos courses folles
Nous bascule dans l'ombre
Et nous détruis ?