mon chagrin,retréssi en grande vitesse
la lourdeur des larmes se disperce
la solitude ne miroitte plus la peur
à mes yeux,virent vers la tiédeur,
mes nuits de condoléances
qui, sont desormais,en partance
rien ne relie ma riviere
aux sources de tes hauteurs en pierres
je lis les versets de quiettude
je souffle la boujie de l'inquietude
la terre marche sous mes pieds
me prend vers les rivages à mille pied
de tes ravins pleins de fumés noirs
j'ai versé des larmes des soirs,et des soirs
il est temp de laisser aux roses
le temp d'ouvrir mes pétales closes.
mon chagrin
Débuté par aziza rahmouni, oct. 04 2007 10:56
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