Asmae, a qui tu parles ?
A un corps sans âme,
Une bougie sans flemme,
Ou a une fleure qui fane ?
Dit moi Asmae, a qui tu parle ?
A un soleil qui est entrain de mourir
Et son pauvre corps va pourrir,
Sous tes pâles regardes et tes sourires ?
Asmae, je t'en supplie, il faut que tu le console,
Avec tes gentilles sourires et tes délicates paroles,
Car il manque du courage et de l'espoir
Et aussi du vouloir,
Pour réaliser sa pauvre gloire.
Morad Souikik