(Une pensée de Gabriel à Gabriel )
Déjà sonne la fin, de partie des partis
Et leurs petits joueurs, au fond de leurs berlines,
N'ont toujours pas compris, ce qu'est le TEA party,
Croyant avoir à faire à un goût de théine.
N'ayant de l'internet, qu'une vue pas très nette,
Ils n'ont pas bien saisi, qu'est arrivée la fin,
De ces politiciens, doués pour les sornettes,
Diplômés de cénacle au parfum d'aigrefin.
Sans penser que Twitter est l'amplificateur,
Ils font leurs conneries, devant la terre entière,
Ne voyant même plus l'effet dévastateur,
Qui leur fait chaque jour, traverser la frontière.
Alors quand dès demain, aux pointeaux de nos piques,
Leurs trognards ahuris, demanderont la cause
De ce grand désamour, pour le clan politique,
Ils auront oublié, qu'ils souffraient d'amaurose.
Ainsi n'ayant pas vu, croitre tous ces écarts,
Tuant à petits feux, notre démocratie,
Ils n'ont imaginé, qu'à grands coups de trocart,
Ils faisaient du pays, une ploutocratie,
Il fallait donc s'attendre, à ces monceaux de cendres !
Ne faut pas être bien, pour ne pas voir la corde,
Qu'à son cou, on se met et qui va là vous pendre,
A moins qu'on ait envie, juste qu'on se saborde,
Ou qu'on soit si crétin, que ce soit le destin !
Moietmoi avril 2014
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