Il a, lui, tout compris, quant à ce qu’aujourd’hui,
Attend tout son pays, frustré de tant d’années,
De gloire et de misère et de jour et de nuit,
Pour n’être plus demain, ce peuple suranné....
Il sait que sans orage, un moujik est sans rage
Et qu’il faut du danger pour bien le réveiller,
A toujours lui donner, des idées de voyage,
Au risque de le voir se mettre à sommeiller.
Il a depuis longtemps, bien tout assimilé,
Des froideurs de l’hiver, des douceurs du printemps,
Des revers de l’histoire, aux rêves annihilés,
Pour remettre la Rous, dans les cadrans du temps.
Comme de nos tyrans, il a de leurs leçons
Retenu l’essentiel et qu’il a vu qu’en face,
N’étaient que de l’action, les images et le son,
Il a de leur préface, écrit, lui, sa postface.
Alors, quand dès demain, juste au Monopoly,
Joueront nos poètes, à coups d’incantations,
Il y aura longtemps, que par quelques délits,
Il aura mis le monde, au ban de sa nation,
Arrivant à sa quête, en victoire et conquête…
(J’ai peur que les cocus , demain aient mal au cul !)
juillet 2014