Les vers que je peux lire ont tout pour être francs.
Mais je maçonne mal mes english words souffrants,
Ne gâchons pas guindés notre élan britannique !
Le scribe sur le pont d'un puissant titanique,
S'encombre de numbers, téléphone à Spielberg
Téléphone élégant.... _pas que beau l'iceberg !
A l'insu (merci bleue ô toi grande mer) cible
Cette buse d'humain qui se sait submersible !
.... Je me souviens les fleurs, je les comptais souvent
L'hérétique louange inspiré de couvent
Les parfums sont des sceaux sur ces terreaux de cloître
Sous la lune glaçon ce songe peut s’accroître !
Bon...c'est bon, c'est ça, c'est bien là que je meurs
Sur ce bateau la mort déborde de rumeurs...
On the road comme on dit, sans fleur mon pauvre scribe
Sans dialogue oiseux, sans coup, sans diatribe,
Je meurs, meurs, on the road, sur l'eau très loin de l'Ilm
Mon paquebot se noie ... et qui dira ce film ?
Mon suprême divin : soit je rejoins ta steppe
Soit leste Lucifer me cueille comme un cèpe !
On vidange le jus du raisin sans raison
Un peu de moisissure un peu de la saison
Une petit endive un bon repas qu'on damne
Et je sens dans l'aigreur le vin qui me condamne
A me nicher vers trois mille mètres de fond.
Les maîtres m'ont fixé vers l'endroit qu'ils défont
Grégaire est bien le mot, les moutons sont en rade
Hier quand ils ont rit c'était bien la parade
Le moment favori demeure du regard.
Souvenons nous l'iris, la beauté c'est l'égard
D'une femme indomptable elle contemple et nie
D'être pardonnable, ainsi c'est du génie
Mais la mer ....La madone adorant rendre a rang
A degres sombre et bas, l'odeur d'un seul hareng
Qu'un souffle de noyé ! Ça gifle du solfège !
Rares thés que je bus vers quelle tasse vais-je ?
Trop de tasse parfois fécondent ce malheur
Augmenter ce qui vaut n'augmente sa valeur !
Au fond d'un coupe gorge : un pavé guillotine.
Pourquoi la mort fait-elle un bruit blanc de bottine
Alors qu'un sombre drap t'enveloppe elle au loin ?
Sans te laisser le temps de choisir avec soin
La lettre l'alphabet, le timbre et l'enveloppe,
Franchement mon parcourt... pourquoi cette salope
Qui m’empêche de rire, et de baiser, chanter ?
Tout ce que je peux la me revient à hanter !
Mais avant, mais avant ... il faudrait que je meure
Que je rejoigne en queue une aqueuse demeure
Que je vagisse en vain dans la terre, au vagin
De ma propre planète ainsi qu'un sauvagin !
Mer ! Ta grappe agrippe et... Mort tu me babilles
Que ma peau feuille morte est jean, que tu t'habilles
Autant de ce tissus que d'un silence noir !
Ma jeunesse dessine, imposant promenoir,
De quoi penser le trait qui toujours me dessine
Ô scribe tut...c'est... c'est... Beaux arts qu'on assassine !
Vous écrire et compter fut mon amour âgé.
Chaque jour l'habitude avait amouraché
Ma si chercheuse chair au vouloir qui répète
Plus je me répétai.... moins j'ai valu tripette !
Ca me rappelle un peu, discours de président
L'emphase que j'eusse eut devant cet incident,
La densité du mot que j'eux noté... ça pique !
Je sens des poignards froids, je sens... je coule a pique !
Tout séparés de moi mon corps et mes esprits
Ce couple qui divorce, allons, me laissent pris...