Les poètes...
Ils planent dans l'azur
Et donnent à aussi à manger
Aux chevaux du vent léger
Mais tombent dans l'ennui
Dès que le quotidien les fuit
Ils sont ces fantômes ordinaires
De tous nos rêves incompris
Et ils restent seuls et bien las
Sphinx malades d'urinoirs
Pâles copies de pâles vies
Qui chient chaque matins
Ils volent l'azur à Orphée
Maladifs bavards de l'époque
Où rien ne va, ni n'ira jamais
Les poètes
Débuté par Victorugueux, nov. 23 2007 12:10
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 23 novembre 2007 - 12:10
#2
Posté 25 novembre 2007 - 08:54
Les Poètes II
Les poètes se soucient peu des autres
C'est là leur moindre des défauts,
Leurs ego les maintiennent à flots
Et ils se moquent du monde
Et ils ignorent comment je vais
Comment les femmes et les hommes vivent
Ou simplement ils ignorent qu'il y a un autre
Les poètes ignorent la morale
Car leur essence en fait des prophètes
Alors que ce ne sont que des bavards
Un peu niais qui sont psychotiques
Et complètement hors des chemins
La Poésie les ignore, ils ignorent la Poésie
Ils parlent d'un monde qui n'existe pas
Mais un monde refuge fait pour eux
Ils se moquent de la douleur des hommes
Et pour cela leurs ego les condamnent
A ressasser sans cesse des vielles rengaines
Qui parlent d'amour, de beauté et de joie
Mais ils ont oublié d'être franc et solidaire
Ils sont condamnés à reproduire sans faim
Je t'aime mon amour! Oui! Pour toujours
Jusqu’Ã ne me quitte pas maintenant ou je meurs
Ces cycles Amours-Désespoirs allant si vite
Les poètes se soucient peu des autres
C'est là leur moindre des défauts,
Leurs ego les maintiennent à flots
Et ils se moquent du monde
Et ils ignorent comment je vais
Comment les femmes et les hommes vivent
Ou simplement ils ignorent qu'il y a un autre
Les poètes ignorent la morale
Car leur essence en fait des prophètes
Alors que ce ne sont que des bavards
Un peu niais qui sont psychotiques
Et complètement hors des chemins
La Poésie les ignore, ils ignorent la Poésie
Ils parlent d'un monde qui n'existe pas
Mais un monde refuge fait pour eux
Ils se moquent de la douleur des hommes
Et pour cela leurs ego les condamnent
A ressasser sans cesse des vielles rengaines
Qui parlent d'amour, de beauté et de joie
Mais ils ont oublié d'être franc et solidaire
Ils sont condamnés à reproduire sans faim
Je t'aime mon amour! Oui! Pour toujours
Jusqu’Ã ne me quitte pas maintenant ou je meurs
Ces cycles Amours-Désespoirs allant si vite
#3
Posté 25 novembre 2007 - 09:31
Non pas noteuse...j'ai mis la note car j'ai trouvé rien de poétique dans le poème de the child...Je ne suis pas poète.
#4
Posté 25 novembre 2007 - 09:45
Desolée, mais ce sujet a été fermé, mais j'ai pas pu m'empêcher de répondre...