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INVITATION D'AMOUR.


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10 réponses à ce sujet

#1 solitaire

solitaire

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Posté 25 décembre 2007 - 11:35

Toi,de quel droit tu as defonce mes reves,partage mon lit et rompu ma solitude?!
Est-ce que tu es aussi belle que ne revelent tes mots qui murmurent a mon oreille le d'une deesse au parfum sauvage ,temoin d'une longue nuit d'amour?!

Belle,mes yeux n'ont jamais rencontre tes yeux,mais je savais au-dela de tes mots , que tu devais etre encore plus belle qu'un reve que je puisse resister a ton assault

Hier,les champs de ble m'ont rapporte qu'ils avaient emprunte a ta peau sa couleur d'ete mediterraneen!

Sous un ciel de perles et de merveilles,meme les nuits qui couvraient les amoureux loin des regards curieuxet jaloux,devraient s'imbiber de ta chevelure ondulee ,noire et dense pour mener a bien leur tache!

Ce matin,le soleil passait embrasser ton visage et y arrachait sa part des rayons dores avant d'escalader ,en confiance et fierte,le ciel d'azur!

Cet ete,sur la plage , quand tu marchais,c'est dans mon coeur que tu marchais,lorsque ta robe legere et douce peinait pour refouler le desir ardent de mes yeux hypnotises par le rythme voluptueux de tes pas,les pas d'EVE au paradis!

Ce printemps,je te voyais affairee a produire mais de la beaute speciale au miel,et des lors les poetes n'exigent que du miel portant ton nom pour reussir le poeme eternel de leur vie !

Je te voyais,a travers la fenetre quand tu frolais les fleurs de mon jardin,ces derniers,aussitot se depecherent pour copier sur toi les couleurs de ton arc-en-ciel qui longeait une taillede marbre a faire rever les ROMEO du monde !

Mais, le comble est que,lorsque tu parlais,le violon fondait de tendresse et gemissait de plaisir intense,et moi,je ne savais plus dire un mot en te regardant aux yeux et je craignais ne plus savoir comment t'aimer,moi,qui suis souvent trouble par une beaute moindre !

Dis-moi,que faire face a tes vagues de passion successives et innombrables,moi,qui suis extenue d'amour au fil des longues annees!

Quiconque oserait nager et ne pas risquer sa vie,si ce n'est moi,ce pauvre fou de poete qui se vendrait pour une et une seule nuit dans tes bras!

O toi..!Qu-as-tu fais d'un amant traversant sa quarantaine?
Aie pitie de mes cheveux parsemes d'etoiles ; aime -moi en douceur avant que tarisse ma source de vie,source d'amour !

Apprends-moi ,a ce naufrage de tes graces,comment atteindre le rivage de tes levres cerise et y vivre le restant de ma vie ou meme mourir sans regret ou remords.

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#2 Invité_khenatermite_*

Invité_khenatermite_*
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Posté 25 décembre 2007 - 01:27

Toi,de quel droit tu as defonce mes reves,partage mon lit et rompu ma solitude?!
Est-ce que tu es aussi belle que ne revelent tes mots qui murmurent a mon oreille le portrait d'une nouvelle deesse au parfum sauvage temoin d'une longue nuit d'amour?!

Tu sais,mes yeux n'ont jamais rencontre tes yeux,mais je savais au-dela de tes mots ecrits sur du papier rose, que tu devais etre encore plus belle et plus reelle qu'un reve sans lendemain,au moins a mes yeux de poete menant malgre moi,une vie d'ermite!

Hier,les champs de ble m'ont rapporte qu'ils avaient emprunte a ta peau sa couleur d'ete mediterraneen!

Sous un ciel etoile de silence et de reves,meme les nuits qui couvraient les amoureux loin des regards curieux,auraient besoin de ta chevelure ondulee ,noire et dense pour mener a bien sa tache!

Ce matin,le soleil passait embrasser ton visage et y arrachait sa part des rayons dores avant d'escalader ,en confiance et fierte,le ciel d'azur!

Cet ete,sur la plage , quand tu marchais,c'est dans mon coeur que tu marchais,lorsque ta robe legere et douce peinait pour refouler le desir ardent de mes yeux hypnotises par le rythme voluptueux de tes pas,les pas d'EVE au paradis!

Ce printemps,je te voyais affairee a produire mais de la beaute speciale au miel,et des lors les poetes n'exigent que du miel portant ton nom pour reussir le poeme eternel de leur vie !

Je te voyais,a travers la fenetre quand tu frolais les fleurs de mon jardin,ces derniers,aussitot se depecherent pour copier sur toi les couleurs de ton arc-en-ciel qui longeait une taille a faire rever les ROMEO du monde !

Mais, le comble est que,lorsque tu parlais,le violon fondait de tendresse et gemissait de plaisir intense,et moi,je ne savais plus dire un mot en te regardant aux yeux et je craignais ne plus savoir comment t'aimer,moi,qui suis souvent trouble par une beaute moindre !

Dis-moi,que faire face a tes vagues de passion successives et innombrables,moi,qui suis extenue d'amour au fil des longues annees!

Quiconque oserait nager et ne pas risquer sa vie,si ce n'est moi,ce pauvre fou de poete qui se vendrait pour une et une seule nuit dans tes bras!

O toi..!Qu-as-tu fais d'un amant traversant sa quarantaine?
Aie pitie de mes cheveux parsemes d'etoiles et aime -moi en douceur avant que tarisse ma source de vie,source d'amour !

Apprends-moi ,a ce naufrage de tes graces,comment atteindre le rivage de tes levres cerise !!!!!


un ermite chez toi peut-être et non ailleurs.
je le trouve joli cet écrit, et non l'ermite que tu n'es pas.

#3 solitaire

solitaire

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Posté 25 décembre 2007 - 01:41

un ermite chez toi peut-être et non ailleurs.
je le trouve joli cet écrit, et non l'ermite que tu n'es pas.


cher ami.
je te remercie pour ce passage eclair,mais je suis ermite par contrainte,car la vie m'a laisse peu de choix,bonnes fetes,solitaire

#4 Invité_souris_*

Invité_souris_*
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Posté 25 décembre 2007 - 02:18

Bravo, Solitaire

Ces paragraphes sont d'une poèsie admirable...

Si tu essayais maintenant d'écrire noire sur blanc; ça te permettrait d'y voir plus clair dans tes positions d'amoureux transi et de tourner la page ?

Bon Noël à toi, amicalement,

Souris


#5 solitaire

solitaire

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Posté 25 décembre 2007 - 02:33

Bravo, Solitaire

Ces paragraphes sont d'une poèsie admirable...

Si tu essayais maintenant d'écrire noire sur blanc; ça te permettrait d'y voir plus clair dans tes positions d'amoureux transi et de tourner la page ?

Bon Noël à toi, amicalement,

Souris

c'est un compliment que je souhaite meriter,et me suffit ton temoignage pour mieux ecrire,autant qu'on vit,autant qu'on court derriere un amour qui a mes yeux,est jusque la un reve mais possible!

#6 Invité_souris_*

Invité_souris_*
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Posté 25 décembre 2007 - 02:46

Je suis heureuse de ta réponse. J'aurais sans doute mal lu entre les lignes, pour n'y pas déceler l'espoir qu'elles transcrivent.

A l'aboutissement d'un rève, amicalement
Souris


#7 solitaire

solitaire

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Posté 25 décembre 2007 - 02:54

Je suis heureuse de ta réponse. J'aurais sans doute mal lu entre les lignes, pour n'y pas déceler l'espoir qu'elles transcrivent.

A l'aboutissement d'un rève, amicalement
Souris


tu as bien lu,mais c'est ma faiblesse de mieux dire les choses qui parfois seme la confusion,et combien je suis heureux que ,la,quelque part une aussi grande plume pense a me lire,moi eleve d'hier face aux geants de cet art.
j'aime bien tes remarques,continue et je ferai mieux.solitaire

#8 Lucretius

Lucretius

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Posté 25 décembre 2007 - 06:34

Hier,les champs de ble m'ont rapporte qu'ils avaient emprunte a ta peau sa couleur d'ete mediterraneen!
(...)
O toi..! Qu'as-tu fais d'un amant traversant sa quarantaine?
Aie pitie de mes cheveux parsemes d'etoiles et aime -moi en douceur avant que tarisse ma source de vie, source d'amour !

De très jolis passages dans cette déclaration enflammée. :)

#9 solitaire

solitaire

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Posté 25 décembre 2007 - 06:51

De très jolis passages dans cette déclaration enflammée. :)


et moi,de meme,ton passage met le feu de satifaction en moi,car c'est d'un artiste du mot,je te remercie,solitaire

#10 sanaa

sanaa

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Posté 04 janvier 2008 - 01:20

c'est magnifique.




Le désir et l'envie. La soif et la faim. La flamme et le feu… Ce serait si merveilleux d'apaiser ces sensations si accablantes, et de soulager un corps si fiévreux. Si bon ! D’éprouver du désir pour un homme, de lui confier son corps, et de lui parler le langage de l'amour. Si doux ! De « soupirer un bon coup » en posant sa tête sur son buste chaleureux…Rien n'est plus rassurant, et pourtant si difficile ! Que de prendre celui qu'on désire dans ses bras, de parler vrai avec lui, et de lui souffler dans l'oreille : « Oh ! Combien ! J'ai envie de toi ».



Désirer un homme de cette façon, rien qu'en le regardant dans les yeux… c'est la preuve tangible d'une alchimie physique… Par ce qu'il a tout pour être appétissant, et tout pour séduire une femme comme moi.



Et dans cet endroit où nous avons fumé le narguilé dans une ambiance orientale ; lorsqu'il m'a caressée la main m'a embrassée dans l'oreille et en a mordillé le lobe, et lorsque j'ai glissé mes doigts dans ses cheveux…Dieu seul sait, que mon simple souhait n'était, que poser mes lèvres humides sur les siennes, se laisser aller, et se fondre en lui… Et pourtant, il n'y a pas eu d'histoire, pas de début, ni de fin, juste cette chose que je ne pourrais expliquer.





Je le priais ainsi : « oh ! Faites qu'il m'embrasse !

Je ne veux rien de lui sinon un unique baiser.

C'est bien peu de faveur, mais il peut apaiser.

L'ardeur qui me consume en braise fugace.



Soudain, tu es venu à moi et moi je tressaillais d'aise,

Espérant ce bonheur de pouvoir enfin t'embrasser,

Et puis, en t'embrassant, de pouvoir t'enlacer.

Et puis, étreindre ton corps qui crée mon malaise.



Ô Dieu, que j'ai eu de plaisir,

Quand je te sentais, de tes mains me saisir.

Puis glissant ta bouche ouverte.

Sur mon oreille comme un couvercle,

Tu l'approches, avec ta langue sémillante,



Mais, hélas ! Qu'as-tu fait ? Tu es venu seulement.

D'un petit bout de ta lèvre approchée doucement.

Le lobe de mon oreille, et ignorer mon corps sciemment.





Est-ce ainsi que l'on embrasse, dites-le-moi, tourment de mon désir ?

Non, mais c'est me laisser, sous l'ombre d'un plaisir,

Le regret importun d'une joie toujours enviée.

Et l'appétit de mon corps et de mes sens toujours attisés.



Ô mon cher coquin !

Si tu veux m'apaiser,

Offre- moi le butin.

Par le nectar d'un baiser.



J'aime le doux emportement.

De désir démesuré,

Quand d'un même envoûtement !

Les ébats sont partagés.



Heureux sera le jour.

Lorsque je t'aimerais sur ton lit.

Et toi me faisant l'amour.

Je resterais longtemps ébahie.



au plaisir de te lire

#11 solitaire

solitaire

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Posté 04 janvier 2008 - 02:32

c'est magnifique.




Le désir et l'envie. La soif et la faim. La flamme et le feu… Ce serait si merveilleux d'apaiser ces sensations si accablantes, et de soulager un corps si fiévreux. Si bon ! D'éprouver du désir pour un homme, de lui confier son corps, et de lui parler le langage de l'amour. Si doux ! De « soupirer un bon coup » en posant sa tête sur son buste chaleureux…Rien n'est plus rassurant, et pourtant si difficile ! Que de prendre celui qu'on désire dans ses bras, de parler vrai avec lui, et de lui souffler dans l'oreille : « Oh ! Combien ! J'ai envie de toi ».



Désirer un homme de cette façon, rien qu'en le regardant dans les yeux… c'est la preuve tangible d'une alchimie physique… Par ce qu'il a tout pour être appétissant, et tout pour séduire une femme comme moi.



Et dans cet endroit où nous avons fumé le narguilé dans une ambiance orientale ; lorsqu'il m'a caressée la main m'a embrassée dans l'oreille et en a mordillé le lobe, et lorsque j'ai glissé mes doigts dans ses cheveux…Dieu seul sait, que mon simple souhait n'était, que poser mes lèvres humides sur les siennes, se laisser aller, et se fondre en lui… Et pourtant, il n'y a pas eu d'histoire, pas de début, ni de fin, juste cette chose que je ne pourrais expliquer.





Je le priais ainsi : « oh ! Faites qu'il m'embrasse !

Je ne veux rien de lui sinon un unique baiser.

C'est bien peu de faveur, mais il peut apaiser.

L'ardeur qui me consume en braise fugace.



Soudain, tu es venu à moi et moi je tressaillais d'aise,

Espérant ce bonheur de pouvoir enfin t'embrasser,

Et puis, en t'embrassant, de pouvoir t'enlacer.

Et puis, étreindre ton corps qui crée mon malaise.



Ô Dieu, que j'ai eu de plaisir,

Quand je te sentais, de tes mains me saisir.

Puis glissant ta bouche ouverte.

Sur mon oreille comme un couvercle,

Tu l'approches, avec ta langue sémillante,



Mais, hélas ! Qu'as-tu fait ? Tu es venu seulement.

D'un petit bout de ta lèvre approchée doucement.

Le lobe de mon oreille, et ignorer mon corps sciemment.





Est-ce ainsi que l'on embrasse, dites-le-moi, tourment de mon désir ?

Non, mais c'est me laisser, sous l'ombre d'un plaisir,

Le regret importun d'une joie toujours enviée.

Et l'appétit de mon corps et de mes sens toujours attisés.



Ô mon cher coquin !

Si tu veux m'apaiser,

Offre- moi le butin.

Par le nectar d'un baiser.



J'aime le doux emportement.

De désir démesuré,

Quand d'un même envoûtement !

Les ébats sont partagés.



Heureux sera le jour.

Lorsque je t'aimerais sur ton lit.

Et toi me faisant l'amour.

Je resterais longtemps ébahie.



au plaisir de te lire

j'admire votre talent en vers et en prose,merci et bon retour dans ta famille,solitaire