Le corps en vrac, courbé sous les années, je passais le pont de l'épée.
« Bienvenue en enfer » Les mots des noires créatures grimaçantes me laissèrent indifférent.
Il y a des années que je vivais en enfer, je cheminais donc presque avec joie. Les flammes qui se tordaient et me brûlaient de l'intérieur étaient sa chevelure flamboyante depuis déjà longtemps.
Ma monture se cabra, les naseaux frémissants, mue par la même colère qui m'habitait. Je dégainai mon sabre, paré à l'attaque, le combat dans mes yeux de sang.
Bien au-delà du temps. Là-bas m'attendait la fin, dans le flot des amours mortifères.