Des moussons en Avril, volera l'éventail,
Aux lèvres incarnates, la caresse palmée.
Automnal et moiré hors d'une aube nymphale,
Le papillon se meurt sur la pulpe garance
D'une moue flétrissant l'extravagant baiser...
Urcéole gracieux, avaloire gourmand
Aux nocturnes exsudant leur humide impatience,
Et le rose outrancier des nuphars ondoyants
D'un lit d'eau, brouillera les touffeurs assoupies
Sur les ailes du temps...