Linéament d'aurore
Sous le miroir falot
D'un trompe-l'oeil languide,
Cerbère dupé
Aux flammes confondues
Qui lichent les ambâges
Et s'ivrognent d'impudeur,
Esquisse chaloupée,
Caresse sur la voilette
de notre somnolence,
Et le temps qui s'égoutte,
Alors des transparences,
Révèle la rosée
Intaillée dans le corps
De nos caducités...