A la fin d’un monde à l’idée de liberté
Kalliste enfile des perles de porphyre
À la lueur de l’azur sur le ruban saphir
Pour sertir sa végétale gorge d’été
Au bout de sa main
l’index insulaire
Pointé vers les jalousies solaires
Contemple le sel des vents
Savoure le rire des succulentes
Écoute les pierres de Gènes
Hume les arabesques de l’aspic
Et jamais n’oublie
Filetta
D’effleurer la peau de Colomba