En 1960, j’ai douze ans. Je suis dans le bureau du Surveillant Général d’un grand lycée. L’on m’accuse d’avoir commis une violence contre un autre élève de 6°. Très vite, pourtant, on me disculpe : la victime, convoquée, elle aussi, déclare, en ma présence, m’avoir désigné par erreur.
Mais, quelque part, le mal est fait : j’ai découvert l’injustice.
28/5/17