Je ne connais pas de mots plus exacts que ceux d’Aragon pour exprimer l’acte d’écrire :
« Je donne mon sang rouge à quelqu’un que j’ignore
et pour lui, ce ne sera jamais que de l’eau ».
29/5/17
Posté 30 mai 2017 - 10:47
Je ne connais pas de mots plus exacts que ceux d’Aragon pour exprimer l’acte d’écrire :
« Je donne mon sang rouge à quelqu’un que j’ignore
et pour lui, ce ne sera jamais que de l’eau ».
29/5/17
Posté 30 mai 2017 - 05:32
Posté 31 mai 2017 - 01:55
Sans vouloir apostropher GuyConque et quant à s'en tenir aux vins, il est possible - à destination de ceux qui trouvent au rouge un "goût de viande" - d'évoquer Bukowski et les deux litrons de Chablis qu'il s'est offerts sous de célèbres projecteurs littéraires. Joyce aussi, qui écrivait "à l'électricité", c'est à dire en buvant du blanc.
Et Vian, également, pour les lecteurs à l'irréprochable sobriété. Il en est, je le sais; ça coule de source, oui.
Posté 31 mai 2017 - 06:21