Écrire, c’est, aussi, frapper le métal des mots sur l’enclume, rechercher l’exacte courbure, celle qui dira l’hésitation de l’âme, le mouvement imperceptible de l’émotion, les reflets de l’enfance, la peur de la décrépitude inexorable et de la mort, la traversée du nuage du sentiment dans le ciel de l’esprit et le frisson du corps sous le souffle du souvenir.
24/6/17