Tlpsien ++
Posté 26 juin 2017 - 08:30
TRANSIE PAR LES ÉCLATS DE TROMPETTE
Giboulée de sons grésillants
Qui percent le chahut
Se dressant devant moi.
J'ébauche un son
Qui s'efface
Femme sans attache
Eloignée de tout allégeance
Rejetant le droit à la belligérance
Esquisse d'un destin
Dans un interstice
Figure vacillante
Face au monde hanté
D'ombres grouillantes,
Outrecuidantes.
Je commence l'errance
Ombre inaudible
Vers le monde du silence
AMML - 5 XI 16
A poil laineux
Posté 26 juin 2017 - 09:06
J'aime bien...
Dans la dernière strophe je trouve qu'il y a beaucoup de "ante", c'est un peu "dur" ou "lourd" à l'oreille...
Tlpsien ++
Posté 27 juin 2017 - 06:10
"dur" et "lourd" comme les "éclats de trompette" et les "ombres grouillantes"
A poil laineux
Posté 27 juin 2017 - 08:13
Je ne trouve pas le son de la trompette dur ni lourd, même bouchée 
Tous ces "ante" c'est le son du cuivre...?
Rime eMBalLAnTE
Posté 27 juin 2017 - 09:21
Je ne trouve pas le son de la trompette dur ni lourd, même bouchée
Tous ces "ante" c'est le son du cuivre...?
Tlpsien ++
Posté 28 juin 2017 - 03:11
Que se passe-t-il dans l'inconscient lorsqu'un poème surgit? Pourquoi cet instrument m'est-il venu à l'esprit? Je n'en sais fichtre rien!
Référence aux trompettes de la mort de l'Apocalypse?
Tlpsien +++
Posté 03 juillet 2017 - 06:28
Je ne comprends pas cette question d'ante. C'est un poème superbe.
J'aurais écrit toute allégéance, mais je fais des fautes d'orthographe.
