Plus Belle à deux
Bien souvent je fais le con,
En m'enivrant au balcon,
Car je pense à ce passé,
Que je ne peux effacer.
Le soir non loin de la rive,
J’écris à des heures tardives,
Des jolis poèmes d’amours,
A ma muse de Cherbourg.
Nos vies sont plus belles à deux,
Mais peut-on être heureux,
Comme le conte de fée,
De Cupidon et Psyché ?
Le doute s’installe et ronge,
De plus en plus les quelques songes,
Que j’essaye de garder,
Dans mon cœur si tailladé.
Gracia LUNDA – « Les rues de ma vie »