Un jour, j’achetai deux pieds de lavande : je mis l’un d’entre eux dans un univers préservé (un pot de terre, une véranda chauffée toute l’année), je mis l’autre en pleine terre , le soumettant à la rudesse des hivers.
Quand je décidai de placer celui de la véranda (qui s’étiolait), en pleine terre, il ne résista pas un instant. Celui qui est en pleine terre aujourd’hui fleurit et fait la joie des insectes qui butinent son pollen .
– Sans doute cette histoire comporte une morale évidente, qui peut s’appliquer aux humains.
16/7/17