Ce temps-là, va, m'empresse aux douces décadences
Lorsque le soir venu, l'ombre de moi languit
Devant le drap vermeil des humbles révérences
Où sans effacement, la béance alentit
L'inanité suprême de ne pas mourir...
Ce temps qui va, musard élu des apparences
Aux resucées de l'aube, imprime en lui l'aveu
A la cire fondue, le sceau des indulgences,
Comme un soleil passé sous le plomb pâle et bleu
Que polit, des lenteurs, l'antique souvenir ...